Mission rang D : Vallée Rocailleuse

La brise soufflait sur le petit étang, se qui fit onduler sa surface et plusieurs petites bestioles qui se trouvaient sur cette dernière quittèrent l'endroit pour se réfugier parmi les feuillages entourant l'étang. Un bruit attira son attention cela venait de derrière le muret, quelqu'un était en train de l'escalader aussi il recula un peu tout en gardant Aiko dans son champ de vision, après tout sa dernière nounou avait fini à l'hôpital alors un minimum de précaution était de mise. Le tête d'un homme au teint sombre dépassa du mur, petit à petit l'homme en question se dévoila avant de sauter pour atterrir à quelques pas du grand genin. Se dernier était relativement bien habillé, une chemise blanche, un pantalon brun et une paire de sandale qui contrastait assez avec le reste. Bien que l'homme soi un peu plus petit que Fusaaki il n'en était pas moins musclé, son visage était respirait la force et la jeunesse et ses yeux vert pétillait sous se ciel près à décharger sa fureur sur leurs tête.

«-Au Aiko mon amour, j'ai reçu ta lettre. Moi aussi je t'aime et je te délivrerais te ta prison même si pour cela je doit affronter une tempête et une armé de soldats.

-Oh oui mon amour, pitié aide-moi. Cette homme me retient prisonnière contre mon gré, si je reste plus longtemps à ses cotés je sens que je vais déchoir.

-N'est crainte mon amour je m'en vais lui botter les fesses.»

(Pensée de Fusaaki): Non ce n'est pas possible je rêve, j'ai l'impression de me retrouver au beau milieu d'une pitoyable scène de théâtre. M'enfin au moins ce bonhomme va me donner un défouloir, il va prendre pour tout se que la demoiselle ma fait ou escompte me faire.

L'homme fonça sur Fusaaki sous le regard enjoué de la petite peste dont il avait la charge pour cette journée, sans attendre plus longtemps et tout en gardant un œil sur Aiko il fonça droit sur se type. Il fut surpris de la réaction un peu trop brusque du shinobi et ralenti sa course tout en baisant légèrement sa garde. Il n'en fallut pas plus, ni une ni deux un coup de pied latéral vint cueillir l'homme au teint sombre se qui le projeta droit dans l'étang avec surement quelques cotes brisées, en effet se dernier hurla de douleur. Il était trempé de la tête aux pieds, son compte était bon après se simple coup le bonhomme ne voudrait certainement plus se mesurer à lui. Mais à peine le combat avait commençait que la petite peste était partit en direction du portail, il courut donc jusqu'à elle mais cette dernière ne semblait pas prêtre à se laisser attraper sans avoir tout tenté car lorsqu'elle arriva au niveau de l'un de ses serviteurs qui transportait plein de cerise dans un panier elle le poussa violemment se qui eut pour effet de le faire tomber lui et son précieux chargement. Les cerises roulèrent pour tamiser le sol, voyant cela suffisamment tôt le genin sauta simplement par dessus les fruits et se mi à courir plus vite encore, en colère contre cette fille. Elle arriva à la porte et se mit à crier pour qu'on lui ouvre, le pauvre domestique n'eut donc d'autre choix que d'ouvrir le portail cependant au moment où elle se croyait enfin libre elle fut soulevé du sol par Fusaaki.

«-Lâche-moi! Tu m'entends lâche-moi grosse brute! Aidaient-moi il me fait mal!

-Continu à brailler si tu le souhaite je ne suis pas près de te lâcher. Tu devrais avoir honte de ta conduite par ta faute un homme a été blessé, alors tu vas t'excuser auprès de lui et ensuite tu ferra de même avec l'homme que tu as bousculé avant de l'aider à ramasser ses fruits.

-Tu peut toujours rêver!»

Fusaaki en avait par dessus la tête de cette fille, et il était bien décidé à lui apprendre le respect d'autrui même si cela ne faisait pas partit de sa mission. L'orage éclata à se moment, le genin portait toujours la jeune fille sur ses épaules, elle criait et le frappait mais se dernier semblait rester de marbre devant se spectacle alors qu'à l'intérieur il bouillait. La pluie tomba avec force sur le domaine mais le genin continuait de se diriger vers l'homme qu'il avait frappé et qui se trouvait toujours dans l'étang . Le genin l'aida à sortir de l'eau malgré la peur qu'eut se dernier en le voyant s'approcher, alors il posa Aiko devant en la tenant fermement par les épaules.

«-Présente lui des excuses, ensuite tu lui dit pourquoi et tu lui dit de partir.

-Pourquoi je ferrai cela?!

-Je suis ta «nourrice» pendant un jour entier, nous sommes sous l'orage et on restera ici jusqu'à se que tu parle.

-Je fais se que je veut t'es pas mon père.

-Justement je ne le suis pas aussi je ne cèderait pas comme lui.

-Je le dirai à mon père!»

Fusaaki resta de marbre, la jeune fille boudait et le garçon dans l'étang ne bougeait pas de peur de recevoir un autre coup. A plusieurs reprises le tonnerre gronda et les éclairs jaillirent sans que personnes ne disent rien, la jeune fille asseyant toujours de se défaire de l'emprise du shinobi mais sans succès, ce fut à contrecœur quelle ouvrit la bouche pour s'exprimer sur un ton fuyant.

«-Je suis désolé Ahoo mais je ne suis pas amoureuse de toi, je voulais seulement me servir de toi pour fausser compagnie à cette personne. Je m'excuses et te demande pardon. Part s'il te plait.

-Aiko je...je croyais.»

L'homme se releva en se tenant de coté pour ne pas trop réveiller sa blessure et partit au pas de course en gardant la tête basse, pour sa part le genin d'Iwa souleva la jeune fille, le prit sur ses épaules avant de partir vers le serviteur qui ramassait les cerise. Il déposa cette dernière devant lui avant de prendre la parole.

«-Désolé monsieur mais arrêtait je vous prit car se n'est pas à vous de ramasser cela vous n'avez en rien fauté aussi je trouve injuste de vous voir ramasser tous ses fruits aussi laissait nous faire.

-Mais...

-Pas de mais qui tiennent, allait vous réchauffer à l'intérieur nous nous en chargeons mais avant Aiko à surement quelque chose à vous dire.»

Après un long soupire et les quelques suppliques du serviteur pour le conjurer de le laisser faire, que cela n'était pas grave prit la parole à son tour. A présent elle était trempé et résigné.

«- Je m'excuses.»

Sur ses paroles Fusaaki lâcha la jeune fille et se mit à ranger les cerises dans le panier d'oseille et la jeune fille maintenant trempé jusqu'aux fit de même mais le serviteur ne partit pas et les aida. Bien vite les fruits furent tous rassemblé et ils rentrèrent à l'intérieur du bâtiment principale. Aiko alla se sécher et changer de vêtement, pour sa part le genin épiait derrière la porte car il soupçonnait encore une tentative de fuite. Mais elle ne tenta pas de s'enfuir et sortit de la pièce en kimono entièrement noir, elle était très belle. Des serviteurs vinrent leurs offrirent du thé et des gâteaux secs qu'il mangèrent dans le calme et ainsi l'orage passa dans le calme sa sérénité. Le genin oublia bien vite la jeune capricieuse, et ainsi la conversation pu commencer. Fusaaki se sentait léger puis tout d'un coup il sombra dans les ténèbres, elle l'avait drogué, elle l'avait eu. Mais une chose le troubla beaucoup à son réveil la jeune fille était toujours présente, il avait la tête allongé sur ses genoux et avait un peu mal la tête.

«-Je suis désolé je n'aurait pas du faire cela. Je m'en veut.

-Se n'est rien je m'en remettrait.»

(Pensée de Fusaaki): Pourquoi ne c'est telle donc pas enfui, je doute que se soit un nouveau piège alors pourquoi je ne comprend rien.

Au moment où il se releva il croisa son sourire, non décidément il ne comprenait rien à se qu'il venait de se passer mais au moins il n'avait pas échoué dans sa mission puisqu'elle était toujours ici.

«-Pourquoi?

-Je ne suis pas partit alors que je le pouvait, et bien disons votre histoire m'a plus et j'avais du remords de vous avoir fait cela.

-Mon histoire? Je ne me rappelle pas.

-C'est normal, avant d'endormir les gens se produit détend totalement la personne à telle point quelle pourrait vous dévoiler ses secret les plus intimes sans s'en rendre compte.

-Et je vous est parlé de?

-Rien de bien important rassurait-vous.»

Était-ce des effets secondaire de se quelle lui avait fait boire ou autre chose quoi qu'il en soi il ne comprenait rien de se qui venait de se passer ni se qui avait transformé la fille dont-il avait la charge. Le père de cette dernière rentra peut de temps après aussi je fus toujours aussi confus qu'il reçut les compliments de se dernier avant de partir et rentrer au village caché.