Rang D ! Le pervers en fuite.

Mission rang D : Un pervers invétéré vient de s'échapper de prison. Il a pour habitude de zieuter et de toucher toutes les femmes dans des lieux comme dans les vestiaires de sport et autres. Il a est dur a attrapé car extrêmement habile !

Combien de temps ? Depuis combien de temps exactement ne c'était-il pas levé tôt. Profitant de l'aurore grandissant pour s'habiller, déjeuner et traverser les rues inondées de son petit village. Que le peu de rayons qui traversaient les nuages noirs caressaient son dos humide. Et la pluie qui se déversait sur lui, ruisselant sous son kimono blanc et rouge, gouttes à gouttes glissant le long de sa peau, de son torse et de son dos, passant sur ses muscles, sur ses tatouages rougeâtres qui le marquaient, tel une bête. Il se prépara rapidement et se rendit à la grande tour de métal, là où on lui confirait sa mission, cela faisait longtemps qu'il n'en avait pas demandé et donc, il en demanda une de rang D. Simple, Rapide. Après, plus d'un quart d'heure de queue et d'attente un conseillé lui confit enfin un parchemin tout en lui expliquant rapidement la situation, l'expulsant tout aussi rapidement, voyant les salles se remplirent davantage.

Notre jeune shinobi blond aux mèches dorées découvrit plus précisément sa nouvelle mission tout en marchant dans une rue quel compte. Après quelques secondes de lecture il partit en chasse, sautant sur un toit, se dirigent vers le centre. Un homme âgé, venait de s'échapper de prison pour diverses raisons et en fouillant dans son dossier les autorités découvrirent qu'il avait des antécédents pas très catholiques. Tout en dernier dans le parchemin, une note était adressé à celui ou celle à qui cette mission serait confiée. Elle disait que cet homme avait pour habitude de trainer dans les salles de sports et autres endroits ou des femmes dévêtues pourraient s'y trouver. Heureusement pour notre Ankou, à Ame-Gakure, des lieux comme ça, il n'en avait pas des masses, il faisait froid, il pleuvait, l'orale prédominait toutes autres situations, des femmes légèrement vêtues, il pouvait en avoir qu'en un seul lieu. La grande salle d'entrainement du village qui se trouvait au sud-ouest.

De toit en toit, prenant soin de ne pas glisser sur les taules détrempées il se dirigeait vers la grande arène de combat et d'entrainement de la ville. Il savait qu'il le trouvera là, des femmes de tous âges si entraînement chaque jour, il y avait des vestiaires, des douches où elles pouvaient se changer... [...]

Après une dizaine de minute, Taguzi arriva devant le grand édifice qu'il connaissait très bien. Dans le passé il s'y était déjà rendu de nombreuses fois, seul ou en compagnie de son grand-frère pour s'entraîner ou se battre, mais pour la première fois, il tourna autour, cherchant l'entrée, l'entrée pour les kunoichis. Elle était à l'opposer de la sienne et elle était gardée par deux grandes femmes avec une maculature importante, imposante, choquante, dérangeante. À peine s'approcha-t-il de trop près des portes qu'elles se précipitaient sur lui sans demander leurs restes. Elles bloquèrent le passage croisant leurs gros bras musclés, lui lançant un regard noir. Notre jeune blond ne bougea pas, il resta de marbre, tripotant le papier administratif que lui avait confié le vieil homme de la tour, un peu plus tôt. Il cola sa main sur la poitrine d'un des deux géantes qui s'opposaient à lui d'un coup sec, le papier resta cola sur elle. L'une d'entre elle l'agrippa et commença à lire, Taguzi n'attendit pas et sauta au-dessus d'elle, il fit un bond de plusieurs mètres de hauts et les passa sans problème.

Il ouvrit les portes, et atterrît dans une sorte d'antichambre, un petit couloir sombre qui donnait sur plusieurs directions. Une donnée directement sur l'arène, une autre vers les vestiaires et les douches et une troisième vers une autre sortie. Taguzi prit la direction des douches et des vestiaires, sans aucune arrière pensée et avec un regard vide, vitreux, en colère il ouvra brutalement les portes, dans un sursaut, toutes les filles, jeunes ou âgées poussèrent un cri d'affolement. Tous leurs yeux étaient rivés sur lui, mais il ne voyait rien. Elles se cachaient toute, se rhabillant, une lui lança même une sandale. Il ne voyait rien, il n'en avait rien à faire, il fixait les portes et les fenêtres de la pièce quand tout d'un coup il crut voir une paire d'oeil dans un coin. Il bondit. D'un coup de pied il défonça la porte en bois qui s'éclata sous sa force. Des dizaines de morceaux s'étalèrent dans les alentours. Il n'y avait rien derrière cette porte, pourtant il était sûr d'avoir vu un regard. Il inspecta les alentours, suspicieux il marcha, regardant dans tous les recoins, en l'air, à droit, à gauche et même derrière lui, ce qui amena encore des cris venant des vestiaires, soudain il crut entendre un rire venant d'une porte, un placard pour être plus précis.

Il ouvrit la porte et vit un vieil homme cachait derrière des balais et des serpillières qui tentait de se cacher. Il affichait un sourire nié, idiot. Taguzi l'attrapa par le col de son kimono et le tira en dehors du placard, le faisait trébucher pour qu'il se retrouve à terre. Il lui donna un violent coup de pied dans l'estomac et en profita pour lui attacher les mains. Le vieil homme criait, se débâtait, mais il n'avait rien à faire. Taguzi attrapa fermement son kimono et le traîna. Traversant de nouveau les vestiaires féminins, le trainant dans la rue, il le traînerait jusqu'à la grande tour de métal s'il le fallait... [...]

- Chopé par la patrouille.
Mission terminée.

Ok Validé +5XP
Fais cependant attention aux fautes comme " une rue quel compte", c'est pas plutôt une rue "quelconque" ? Sinon bon Rp dans l'ensemble surtout en sachant que tu es rouillé ^^

» Fuite...
» M[ii]s[ii]on de rang D'e[ii]
» Du vin ? Non, du riz ! [Rang D]