Nom : [De consonnance Japonaise !] Tasano
Prénom : [De Consonnance Japonaise !] Otaku
Âge : [Entre 13 et 90 ans] 24
Sexe : M
Affinité : Katon
Grade Visé : Genin
Village demandé : Kumo
Avez Vous lu les règles ? : Ok pour le pokémon.^^
Techniques : [Maximum 5 existantes !]
-Katon Goukakyuu No Jutsu
-Katon Ryuuka No Jutsu
-Katon Endan ?? Vu que c'est une chunin je sais pas si une j'ai le droit ? ^^
-Katon Housenka No Jutsu
-Katon Kasumi Enbu No Jutsu
Descritpions Physique : [Minimum 10 lignes]
Malgré mon apparence humaine, tout comme mon appartenance à la race, il n’en reste pas moins que ma physionomie se voit largement déphasé de la normalité. En effet, La peau abusivement blême et les yeux injectés d’un noir de nuit, laissant transparaître mes iris jaune, illustre les attributs physique qui me sont propre. Pourquoi cet aspect que plusieurs pourraient qualifier de répugnant ? Simplement parce que pour chaque chose, il y a un prix à payer. En ce qui me concerne, ce fut l'apposition d'un fuinjutsu, allant en quelques sortes contre la nature. Mes cheveux sont blanc, argentés devrais-je dire… Mes habits, à leur tour, sont constitués d’un long kimono blanc aux coutures noires, ouvert au niveau du torse, ainsi que d’une paire de pantalon blanc, conférant au porteur une souplesse parfaite. Mais il vaut mieux préciser qu’en contexte de combat, il ne fait pas partit de mes habitudes de rester très longtemps habillé comme tel. Mon torse dévoile par lui-même, lorsque nue, un imposant tatouage, prenant toute la place disponible, de mes épaules à mon bas-ventre. Ce tatouage, est en réalité mon fuinjutsu, représenté par une araignée en flamme de chakra. Faisant surtout office de parure, mon kimono ne sert qu’en dehors des combats… Et encore. Une autre particularité facile à remarquer, lorsque je me pavane justement sans le kimono, il s’agit de ma masse. En effet, je me dois d’avouer, non sans honte, que je ne suis pas du tout du type à posséder une étonnante musculature. Je suis plutôt osseux et maigre en mon genre, témoignant d’un très grand manque au niveau des besoins primaires. Ce qui n’affecte en rien mon réel potentiel de combat.
Description Psychologique : [Minimum 10 lignes]
Le mental d’un homme n’est mesurable que par sa façon de percevoir les moralités du monde. En l’occurrence, je peux confirmer que je ne suis rien que nous puissions qualifier de gentil. Vivant dans la plus parfaite misère depuis ma naissance, j’en suis alors venu à adopter un style de plus en plus fréquent dans ce monde, surnommé : le vice. Non pas volontairement, mais j’oserais mettre le blâme sans hésitation sur la société même, m’ayant rejeté et m’ayant mené vers la déchéance et la folie. Le terme « un esprit saint dans un corps saint », ne serait en aucun cas applicable à ma mentalité rongée par la haine et la folie. Aveugler par la noirceur de mon éternel tourment, j’en suis venu à vouer une véritable dévotion à la cruauté et aux combats, de manière générale. La défaite, personnellement, est une erreur irréparable qui laisse en moi une marque, longue à nettoyer, alimentant plutôt ma haine et mon désir de vengeance. Je suis un fourbe manipulateur et calculateur, qui n’hésite pas à piéger ses victimes et de se délecter de les voir souffrir avant de périr. Tel est en quelques sortes mon hobby, ainsi que ma raison de vivre. Poursuivant mes propres motifs, je suis un indépendantiste, à la poursuite de ses propres ambitions.
Histoire : [Minimum 20 lignes]
Chaque homme sur terre se voie destiné à une vie qui lui est propre, un avenir et une histoire. La mienne, commença donc comme n’importe quel homme sur terre, sauf à un détail près. À ma naissance, le malheur s’abattit déjà sur moi, emportant dans ma naissance, la vie de ma mère. Ainsi, j’étais née, mais j’étais condamné. Mon père, un ex shinobi de Kumo, faisant partit des déserteurs ayant prit d’assaut le village, 27 ans auparavant, était un homme cruel, pour qui rien ne valait plus la peine d’être chéri que sa propre personne. Ma création n’était pas de sa décision, ni de son bon vouloir. Car en effet, ma mère, une descendante de tonnerre, le lui avait caché. Forcé et contrainte par la vie à partager la couche de cet homme violent et méchant, elle avait simplement fini par le fuir et gagner la protection d’un certain haut placé, qui tenu mon père loin d’elle, le temps de sa grossesse, puis de son accouchement. Vous comprenez donc ? J’étais en toute simplicité un bâtard, venant de l’un et l’autre des « clans » qui constituent encore et toujours la division et l’organisation de Kumo.
Cependant, après la mort de ma mère, ma protection à moi n’avait jamais été discutée, non ? L’amant de ma mère qui la protégeait, se répugna de ma naissance, puis me laissa tout simplement au soin des ninjas médicaux. Lorsque j’aurais l’âge de sortir de l’hôpital, on me donnerait à une famille, pour qu’eux s’occupe de moi.
C’est bien ainsi que tout se passa, jusqu’à l’âge de 9 ans, où sortant de nulle part, un homme, me ressemblant étrangement, mais en plus vieux et infirme, se présenta à moi avec un large sourire. Ma famille d’accueil semblait toujours vouloir s’en débarrasser et je ne comprenais pas vraiment, pourtant celui-ci se fit toujours de plus en plus insistant, se représentant à de nombreuses reprises, jusqu’au jour où dans un murmure, sous l’œil avertis de mes parents adoptifs, il m’avoua être mon père. Mon vrai de vrai papa. J’avais toujours eu cette étrange impression de ne pas vraiment être chez moi, mais à ce point ?! Je le dévisageai avec stupeur, tandis qu’il se levait en déclarant d’une voix forte qu’il était temps que je le rejoigne et que j’apprenne à être un homme. Tout ceci se passait trop vite, je le dévisageais, sans trop comprendre, je n’étais qu’un petit garçon à qui le monde s’ouvrait tranquillement et de plus en plus, l’envi de devenir un shinobi me prenait, bien que je ne connaisse aucune appartenance qui me soit propre. Au fond du salon, mon père adoptif cria, puis d’un geste brusque, il bouscula le vieillard qui disait être mon père. Le reste se passa très rapidement, accompagné par mes pleurs et mes cris. Dans un retour agile, le vieillard sortit de son long manteau un kunnai de ninja, puis en quelques secondes, élimina mes deux parents adoptifs, sans la moindre hésitation. Le sang gicla sur mon visage, tandis que je criais et commençais à tenter de fuir. Mais d’une main agile et forte, il me saisit par le cou, puis dans un soupire, m’amena au loin avec lui, en dehors du village.
L’enfer de ma vie venait de commencer. Était-il vraiment mon père ? Dans tout les cas, la raison qui le poussa à venir me chercher me reste encore obscure… Sans doute espérait-il que son petit garçon puisse avoir du potentiel, peut-être voulait-il simplement que je puisse devenir son reflet, peut-être s’aimait-il tant, qu’il voulait se voir renaître ? Quoi qu’il en soit, à l’écart, mon père commença à me monter un certain entraînement, un entraînement spécial qu’aucun gosse de mon âge n’aurait dût avoir à supporter. Jours après jours, je me mangeai des coups, il m’insultait, me donnait des leçons, m’enseignait l’histoire, son histoire. Il me raconta des meurtres, l’effet que pouvait avoir l’acte de viol, de meurtre. La douleur d’une blessure, la beauté de la guerre… Un tas de choses dont je n’avais encore aucune idée. Puis, vers l’âge de 12 ans, l’âge où j’aurais dû devenir genin, j’eus une toute autre leçon… Mon père me mit une arme dans les mains et me fis commettre le meurtre, sur un petit animal. Je n’eus d’autres choix, suite à une multitude de coups de m’exécuter, puis, parlant de récompense, mon père m’assomma. Ce qui se passa pendant ce temps, je ne le sais pas, mais lorsque je me réveillai, mon aspect était totalement différent. J’étais terrorisé. Ma peau était rendu blême, voir livide, tandis que mes iris étaient jaunes et mes yeux noire. Mais le pire ? Il s’agissait d’un immense tatouage, prenant toute la place sur mon torse, illustrant une gigantesque araignée de chakra noire, ondulant parfois ses pattes sur le flanc de mes côtes. Les années suivantes, toujours au même rythme, mon « entraînement » se poursuivit, augmentant toujours d’intensité, jusqu’à ce qu’à l’âge de 16 ans, je finisse par tuer mon propre père, de sang froid, sans le moindre remord, tandis que celui-ci était rongé par la maladie. Non, ce n’était pas mon premier meurtre humain, mais bien le 7e, déjà. J’avais alors appris ce à quoi consistait le SCEAU que m’avait appliqué mon père… il m’avait conféré ses propres pouvoirs, tirant d’un jutsu de transfert d’hérédité. Ce qui avait, après quelques années, affaiblit son système et l’avait ultimement tué. En quoi consistait l’hérédité ? Des propriétés dites arachnide, me permettant l’utilisation de toiles de chakra, ainsi que d’une maîtrise du fuinjutsu acceptable. Mon père avait réussit… J’étais devenu un meurtrier, j’avais ses pouvoirs et j’étais maintenant seul au monde, avec pour seule cause, la haine et la colère d’être pris avec ma propre vie.
Le souffle court, je me relevai, puis je jetai le katana au sol. Je n’aimais pas vraiment les armes. Pour lui donner un cercueil décent, puisqu’il m’avait tout donné, bien que je puisse lui en vouloir beaucoup, je tissai une énorme toile, envahissant l’ensemble de la cachette dans laquelle nous vivions, puis le plaçai dans celle-ci, après l’avoir entièrement recouvert. Mon calvaire s’achevait enfin… Du moins, mon passé s’achevait… J’étais désormais libre. Je savais bien que mon père n’attendait que le jour ou je le tuerais, mais ceci n’avait pas été chose facile durant le temps ou j’avais encore des émotions, comme tous les fils, j’aimais malgré ma haine, celui qui se voulait être mon père. Déambulant jusqu’à l’âge de 18 ans, je devins finalement mercenaire, à travailler avec de simple brigands sans pouvoir et me fit relativement un nom avec ceux-ci, afin de gagner ma bouffe et être capable de survivre. C’est à cette époque-ci de ma vie que je perdis le plus de poids, vivant dans la misère et la malnutrition, je devins maigre et plus faible. Je n’avais toujours pas atteint ne serait-ce qu’un niveau significatif.
Ainsi, après mur réflexion et 4 ans passés à perdre mon temps, je pris finalement une décision qui cette fois s’avérerait bonne. J’avais assez vécu comme un malfrat, j’avais assez subit de merde, pour me permettre un retour dans mon village natal. Après tout, j’avais surement été oublié après 22 ans ? De toute façon, qu’avais-je bien pu faire de mal au village, puisque j’avais passé mes sombres années à l’extérieur du pays. J’avais 22 ans et je n’étais encore qu’une demi portion de ninja… Certes j’étais doué au combat, mais contre des ninjas, cela ne m’était encore jamais arrivé. Bref, prenant sur mon dos la honte de devoir retourner auprès de des enfants beaucoup plus jeune que moi, je repris la direction de Kumo, visant à m’y faire intégrer. J’avais toujours bien un point d’avance… Je connaissais déjà les bases, ainsi que quelques techniques. Du coup, peut-être allais-je pouvoir éviter l’académie ?
Enfin bon, vous vous en doutez ? Nous y voilà. Je m’appel Tasano otaku, j’ai bel et bien été accepté en temps que genin et je sers le village de kumo depuis déjà 2 ans, en temps que genin, ne visant pas tout de suite à m’élever dans les rangs. Mais je sens qu’il commence à en être temps… Bien que je ne désire pas me faire attribuer trop de devoirs, je crois qu’il devient désormais temps pour moi de monter les échelons tranquillement et de profiter de mon sombre passé pour en arriver a mes ambitions, ceux de mon père et ceux de ma haine. Un nouveau cycle de ma vie commence.