Katsu Saga, rang D solo
Lieu : rues menaçantes
Mission : Ramasser les ordures des quartiers Sud et Est du village Ca y est. Saga avait eu sa première mission au nom du grand village d'Oto. Une mission que seul quelques rares, braves, courageux et téméraires shinobi avaient réalisés. Une mission de la plus haute importance.
-Pour avoir un puissant village capable de conquérir des peuples entiers par un simple claquement de doigts, il faut qu'il soit envié et fantasmé par les nations ennemis. Pour cela, il faut que le village soit beau, resplendissant et que ses habitants soient heureux, que leurs sourires rayonnes et éblouissent quiconque doutera de la suprématie d'Oto. Mais pour posséder une telle force il faut débarrasser Oto de toutes ses impuretés ! Il faut annihiler la racaille ! Mais tout d'abord il faut s'attaquer à la source du problème, celle qui fait qu'un homme devient ce qu'il est c'est-à-dire son environnement ! Oui, il faut d'abord un environnement saint pour avoir des villageois saints. C'est pourquoi moi Saga du clan Katsu vais au nom d'Oto ramasser les ordures des quartiers Sud et Est du village ! ! ! ... ... ... Oh putain mais qu'est-ce que je raconte. Ces salopards m'ont demandés de faire les poubelles à moi Saga Katsu.En effet, Saga ramassait diverses ordure qui bizarrement était tout aussi putrides les une que les autres. On aurait dit que dès qu'il ramassait un déchet, une force surnaturelle et diabolique en posait deux autres et ça depuis maintenant plus de trois longues heures sous le soleil brulant d'Oto. Saga continuas son monologue, mais cette fois-ci en criant.
-Vous me le payerez enfoirés ! ! La longue tirade d'aliéné qu'avait récité Saga n'était évidemment pas passé inaperçu, quelques personnes c'était retourné et lançaient des regards noirs en direction du jeune genin. Soudain une vieille dame qui se tenait à peine debout à l'aide d'une canne s'exprima d'une voix tremblante et bizarrement rauque pour une femme.
-Petit voyou ! Attend que je t'attrape, ça t'apprendra à faire fuir mes clients. À mon époque les p'tits merdeux dans ton genre on les empalaient à la place publique.-La ferme vieille peau !Un jeune homme de petite taille qui semblait-être son petit-fils intervint. Il avait l'air encore plus fragile que sa grand-mère, ce qui était difficilement imaginable. Ces yeux sortaient de leurs orbites, son nez était long et crochus, et il avait besoins d'écarter ces jambes pour réussir à se tenir debout.
-Obachan ! Obachan ! Calmez vous et revenez vous reposez ! Ce n'est pas bon à votre âge de s'énerver. Toi là-bas, comment t'as parlé à Obachan ? Hein ? On va te botter le cul !Après avoir frôlé la mort en riant, Saga qui était assez grand s'assit pour se mettre à la hauteur du jeune homme et de sa grand-mère.
-Aaaaah bah c'est parce que tu fais un mètre vingt les bras levés que tu peut faire le malin devant moi, petit homme chétif. Aller retourne dans ta chambre, avec t'as tête tu pourrais faire peur au passant.-Non tu te trompes complètement ! C'est mon père qui va s'en charger. C'est le chef du gang le plus fort du coins et y va faire qu'une bouchée de toi espèce de... de... Grrr je trouve pas les mots pour décrire mon inimaginable co...Saga l'interrompit.
-Bla bla blaaaaSur ce, un homme d'environ deux mètres aussi gros qu'un ours sadique assoiffé de sang qui traquerait sa proid au bord de l'épuisement surgis d'une petite boutique derrière le lilliputiens et la vieille dame. Saga eu un réflexe de survie tout droit sortit des tragédies antiques, mais néanmoins efficace en situation de survie.
-Aïe... Aïe... j'ai mal au ventre... Au secours appelé les urgences je crois que je vais mourir, je me meurs. Oh désespoir ! Quand tu nous tiens... Argh ! Hélas pour notre jeune ami, la rue était quasiment déserte... l'ours assoiffé de sang avait fait fuir la majorité des passants et les seuls à être resté détournais le regard comme si de rien était.
*Bande d'enfoirés ! De toute façon avec le poids qu'il doit avoir, il ne doit pas être bien rapide. Je vais essayé de le semer.*Saga eu subitement une bouffé d'énergie presque surnaturelle, la même qu'à une gazelle essayant de fuir une meute de lions amateur de chairs fraîches. Il courrait comme un dératé, mais au moins il courrait vite. Très vite même, jusqu'au moment où il se rendit compte que ces assaillant ne l'avait en aucun suivis et qu'il courrait seul depuis au moins un bon quart d'heure.
*Sans ce mal de ventre je l'aurais vraiment amoché le gars ! Haha, hahaha... ... ...*Après cela, il se remit au travail avec courage et acharnement ou presque et il put finir de les ramasser en seulement huit heures sans compté le temps qu'il passât dans les nombreuses échoppes du villages ce qui n'était pas mauvais pour un tel homme.
Mission terminée