Le soleil brillait de plein feux en cette journée d'été, pourtant nous étions en hiver, cependant le fait qu'il y ait de la lumière dans cet endroit magique en plus de la chaleur qui s'en dégageait nous allègeait le coeur en un point telle que nous fîmes jamais attention aux détails les plus douteux. Cela fait plus de 3 ans que moi et ma famille restions ici à saluer les voyageurs qui passaient par là avant de trouver un but à leurs existances et repartirent vers les continents inférieurs, nous parlâmes à bon nombre d'entre eux et tout comme nous ils semblèrent troubler sur le comment et pourquoi il devait continuer à retourner au point de départ pour davantage souffrir que la dernière qu'ils virent la lumière du jours alors qu'ils furent confrontés à la torture durant la guerre. Nous même fûmes victimes des conflits qui se produisit par le passé. Il fut un temps où les peuples se coûtoyait et se respectait, faisaient rêgner la loi en toute circonstance sans jamais renier la valeurs d'autrui. Quelque chose et arrivé, un évènement terrible, puis l'inévitable se déclencha et toute harmonie se tut face à la discorde que cela a pu produire entre temps. Ces 5 pays, qui autrefois comprenait les valeurs de la vie se tournèrent le dos un par un pour s'approprier à eux seul le pouvoir et les richesses de ce monde. Tout ce carnage n'avait eu aucun sens sans parler de cette peur qui nous tourmentait, la peur de ne pas être assez fort pour survivre à se désastre. Nous vîmes les jours passé, mais non la paix revenir. Alors que la guerre avait perdurer pendant des mois, nous nous cachâmes dans le grenier non loins de notre maison et j'avais fait tout mon possible pour que nous soyions à l'abri de cette menace...de cette peur qui nous hantâmes depuis le début, mais peu importe quelle seront tes efforts pour protéger les siens, ma plus grande erreure fut de croire à notre survie tout en comptant que sur soi-même. Quel idiot je fus d'espérer un échappatoire à cette folie qui rageait à l'extérieur, si seulement j'avais été plus clairvoyant et travailler avec les autres pour que nous pûmes vivre des jours heureux après ce cauchemar...ah!...quel égoiste de ma part d'avoir pensé que mes simples efforts pourraient les sauver. La porte avait été fracasser à une vitesse phénoménale et puis ce ne fut qu'une question de temps...ils nous repérâmes, puis ils nous torturèrent, puis...nous fûmes tués.
Lorsque je réouvris les yeux, je ne pus comprendre ce qui se passait autour de moi. Je n'avais pas l'impression d'être mort, cependant je me sentait léger et j'avais ressentis en moi une impression de bien être, une chaleur me réconforter...tout cela était si merveilleux à vivre...si le mot ''vivre'' était encore un mots approprier vu mon état. Je partit à la recherche de ma famille à travers cet espace blanc qui semblait parcourir le périmètre dans lequel je me trouvai et il me semblait aussi bien que je n'arriverais jamais à me sortir d'içi sans une aide quelqu'elle soit. C'est alors que le plus grand des mystères se présenta à moi, sous la forme d'un adolescent qui me tendait la main gauche vers la mienne. Il semblait parfaitement serein et gardait sur lui un sourire d'une telle pûreté que mes inquiètudes se volatilisèrent en sa présence. Il ne portait comme vêtement un chandail ainsi qu'un pantalon de soie d'un blanc quasi-parfait. Ses yeux avait le même éclat que les plus belles émeraudes que l'on puisse trouver sur les continents inférieurs que l'on peut tout aussi bien appeler ''la terre des hommes''. Aucune parole ne fut prononcé, tout fut dit que par les regards et les gestes. Je pris sa main et il me guida à travers ces plaines d'une extrême blancheur qui s'étendait à l'infinie. Je ne pourrais jamais oublier la grâce ainsi que l'aura paisible qui se dégageait de se personnage, qui provenir d'une lignée royale, cependant qui traitait de simple paysans tout comme étant son égale et son sourire...si sincère et bienveillant réussi à me convaincre qu'il ne me voudra aucun mal. Il finit par s'arrêter, mais me pointa la direction par laquel je devais continuer. Comment aurais pu refuser de faire ce qu'il me disait de faire après s'être conduit avec moi de façon exemplaire, mes craintes se dissipèrent complètement pour faire place à la confiance et je pris les devants. Sans même me rendre compte de ce qui m'arriva au départ, il me fallu un moment avant de me convaincre que je fus transporté hors des plaines de nuages, pour atterir sur de l'herbe. Le plus étrange ici fut le fait que je ressentait ce qu'il y avait sous mes pieds, en plus de la chaleurs sur ma peau et le vent qui me frola le visage tendrement avant de poursuivre sa route, tout comme moi qui partit à la recherche de mes proches à travers se recoin paradisiaque. L'adolescent qui me montra le chemin auparavant avait littéralement disparue, plus aucune trace de lui ne subsistait dans cet endroit. Peut-être ne pouvait il pas me suivre ici, quel dommage...
Les plaines dans lesquel je venais d'arriver représentait pour le symbol même de la beauté que dame nature avait fait pour nous dans le monde terrestre, mais quel ne serait pas sa déception si elle pouvait voir ce qui arrivait à sa terre bien-aimé. Par contre, ce lieu semblait même surpasser toute les attentes à la quel elle aurait pu croire. Les arbres étaient placé de façon à créer de magnifique tunnels à travers la forêt de cerisié, qui étaient recouverts de pétales du sol jusqu'à la cime de chacun et tous semblèrent en parfaite santé. La rivière qui longeait le long de cette forêt enchantée était d'une claretée qui ne se voyait que très rarement dans le monde dans lequel je vivais autrefois...quel dommage qu'il n'est aucun poisson qui se s'aurait promener à travers une eau si propre. Maintenant que je sus la vérité sur mon cas, je savais qu'il ne m'étais pas nécessaire de boire et continuait mon chemin tout en portant un air admiratif à ce qui m'entourait. La diversitée était très présente ici, les cerisiés fut très certainement une réussite, plusieurs sorte d'arbres de grande et de petite taille faisaient leur apparition alors que je cherchait encore pour ma famille, ils étaient tout aussi incroyable les uns que les autres. Il y avait une espèce d'arbre qui mesurait plus d'une quinzaine de mètres et dont les feuilles étaient faites sous formes d'étoiles. Une sève très collantes tombait de son tronc et avait la même couleur que le bronze...quel étrange phénomène. Je pris le temps de tous bien les admirer tout en oubliant pas mon objectif en vue et après avoir marché à travers de tels oeuvres pendant plusieurs minutes, qui me sembla des heures, je fus stoppé par un mal qui s'en prit à ma poitrine et qui remonta jusque dans ma gorge. Des larmes finirent par couler et malgrer que cela était très douloureux, un sourire vint se poser sur mes lèvres qui n'arrivait pas à se tenir sur place le temps que mes yeux humidifiés me dévoile le sens de ce qui se passait devant moi. Elles étaient là! Ma femme, ma fille...mes trésors les plus précieux étaient ici et semblait aussi sous le choc après m'avoir vue. Nous ne voulûmes point se défaire de ce moment si touchant, mais la joie qui nous consumait finie par se montrer trops forte et je partis à leur rencontre sans retenir mes larmes désormais. Notre famille était dorénavant rassemblée et ne semblait plus souffrir de ce qui se passa auparavant. Nous fûmes heureux pendant 3 ans dans ce recoins de paradis et nous le sommes encore aujourd'hui.
Nous ne fûmes point les seuls à rentrer ici et c'est ce qui nous permîmes de rester informés de ce qui se produisit en bas depuis tout ce temps. Les choses allaient de mieux en mieux semblerait-il et nous étions enfin prêt, même si cela nous pesait, de retourner auprès des nôtres, même si cela ferait en sorte que nous devrions nous séparer cette fois ci. Cependant, me fille à cette nouvelle prit peur et se récroquevilla sur elle même en même de pousser des hurlements de terreur. Puisqu'elle était notre plus grand bien, ma femme et moi tentâmes de la réconforter, mais rien ne pourrais certainement la faire oublier tout les tourments qu'elle avait subit avant d'arriver ici. Elle ne cessait de répéter les mêmes paroles qu'elle avait dites à aux ninjas qui nous avaient persécutés.
-Je serais sage promis! Je suis une bonne fille! S'il-vous-plaît ne me faites pas souffrir davantage! Non! Papa non! J'ai peur!
Je fis tout ce qui était en mon pouvoir pour la résonner, cependant la peur qui la rongeait ainsi que la panique qui se lisait à travers ses traits faciales nous convainquîmes qu'il ne nous restait plus qu'à abdiquer jusqu'au moment où elle se calmerait. Si seulement les chose avait tourné de cette façon, peut-être serions-nous déjà partie d'ici, mais le destin s'interposa encore une fois. Aucun bruit ne vint percuter nos tympans pour nous prévenir de la menace qui fut amener tout près d'où est ce que l'on se trouvait. Au sommet d'une colline, tout près d'un chêne qui semblait sur le point de rendre l'âme, ce qui d'ailleur je n'avais jamais remarqué, se tenait une petit être qui semblait prisonnier d'une toile sombre qui semblait obsorber toute lumière autour de la victime. En y regardant de plus près, je constata avec stupeur que la pauvre chose n'était en faite qu'une poupé faite à partir d'un métal qui semblait parfaitement malléable, mais il était dans un état si pitoyable que le simple fait de le toucher risquait de la faire tomber en morçeau. Son visage affichait un regards triste comme pour demander le pardon et semblait porter en lui une énergie qui palpitait en tout sens, comment puis-je le savoir? Bonne question, je fut sensible à tout ce qui m'entourais lorsque je suis arrivé ici. Une voix gronda à travers les plaines et semblait vouloir dégager un atmospère des plus tendu pour que tout le monde écoute ce qu'il avait à dire puisque qu'au fond nous ne fûmes point les premier à s'installer ici depuis de si longue années.
-Que par mon entremise vous soyez tous éclairer sur le phénomène qui se présente devant vous tous! Cette homme qui osa défier les haut rang de notre communauté a été emprisonné dans ce petit corps frêle pour que son énergie se dissipe peu à peu jusqu'à ce que son existence disparaisse de la surface de ce monde. Tout ceux qui tenteront de lui venir en aide seront punis de la même manière et subiront ainsi le même châtiment! Ainsi nous avons parlé!
Cette chose était en faite quelqun...et ce quelqun avait mit en colère ceux qui nous ont acceuillis en ces lieux. Alors il était tout naturel que nous ne pûmes l'aider à s'en sortir et à le laisser mourir. Seulement un autre phénomène suivit par après et celui ci alla au-delà de toute compréhension...un petit robot semblable à celui qui était emprisonné à côté du chêne, sortit des buissons à quelques mètre d'où est ce qu'on se tenait et partie en direction du prisonnié. Sa taille ne m'arrivait même pas au genou et sa jambe gauche ainsi que son bras droit était en miette. On pouvait entendre les cliquetis que produisaient les pièces en mauvaise état qui le constituait alors qu'il marchait en direction de son compagnon en se servant des deux crochets qui remplaçaient certainement ses orteilles, en se cramponnant au sol puis prend son élan pour continuer à aller de l'avant. Ce manège fut long et ardue pour le petit être, puis quand il arriva devant son objectif, il se mit à le regarder de son regard inexpressif sans bouger le moindre bout de féraille qu'il avait sur lui, la seul main qui lui restait serré fermement. Puis, ce fut pour moi comme pour les autres un sentiments de tristesse, alors que l'on voyait le petit qui tenta veinement de sortir la victime de la toile sombre, cependant son corps était trops petit pour qu'il puisse atteindre son ami et personne n'oserait venir l'aider après l'avertissement qu'on l'on nous recommendâmes de suivres, par contre...
-Satomi! Non!
Ma fille fut-elle sous l'emprise d'une force maléfique pour oser contre-dire les avertissements de nos supérieurs ou bien c'est son coeur qui ne pouvait plus le supporter. Elle courra à en perdre haleine vers le petit homme de féraille et j'avais peur pour sa vie, même au-delà de la mort.
*Sa fille devient le narrateur à ce moment là.*
Des souvenirs enfouies au fond de moi même avait fait surface à nouveau que je vis se petit être cloué contre cette toile sombre qui était censé le condamné à l'anéantissement de son esprit. La douleur de plus être aimé, de ne plus pouvoir se regarder en face, se dire que les choses n'auraient jamais du se passer de la sorte...ne plus avoir la volonté de vivre, tout cela était trops pour moi! Peu importe les choix que l'on entreprends dans la vie, tout le monde à bien le droit d'avoir une seconde chance après la mort. Qui sont ces gens de toute façon pour juger qui dois vivre et qui doit disparaître? Comment un simple mortel aussi puissant soit-il puisse mettre les divinités en colère au point de vouloir le dissoudre à tout sentiment connue. Le simple fait que des gens comme nous soit traité de la sorte me mit dans une profonde colère envers ceux qui nous offrîmes cette terre promise alors que d'autres doivent souffrir encore dans l'au-delà. Le petit être mécanique qui essaya maintes et maintes de sortir la victime de son trépas devait certainement être son ami, vu l'ardeur avec laquelle il tentait veinement de le secourir sans jamais lâcher prise. À peine suis-je arrivé à quelques pas de lui qu'il se retourna vivement pour me faire face, celui ci n'avait aucun visage, seulement deux troues un peu écartés l'un de l'autre semblaient représenter ses yeux. Il ne bougea pas lorsque je fus plus près de lui, mais il semlait vouloir protéger le condamné à tout prix. Un geste qui toucha tout mon âme, car la peur peut avoir facilement le dessus sur la plupart des gens surtout quand leur vie est en danger, cependant celui ci semblait déterminé à faire ce pourquoi il est venu, même si cela signifiait d'être punie à son tour et de devoir disparaître sans jamais ne pouvoir revenir un jours. Je ne voulus pas pleurer telleement que j'admirais son courage devant une telle injustice, mais des larmes se mirent à couler sur mes joues et je ne fut en mesure de conserver davantage le silence face à ce petit bonhomme tout fragile, mais fort de l'intérieur.
-Est ce que tu as mal pour lui...même si vous êtes considéré comme des monstres serait-il possible que tu veuilles l'aider parce qu'il est ton ami!
Il tourna sa tête de gauche à droite en signe négation face à ma question, puis se retourna pour tenter à nouveau de sortir le coupable de sa prison de ténébre sans se préoccuper de moi davantage. Si il ne ressentait aucune peine pour la victime, pouquoi tentait il de le sauver avec tant de détermination? Il y aurait il une autre raison que la pitié ou bien l'amitié ou peut-être même l'amour que l'on éprouve pour quelqun qui serait davantage plus puissant pour unir ces deux compagnons? Si cela est vrai, alors j'aimerais savoir ce que c'est, car peut-être qu'au fond cela pourra me rapporter du réconfort et ainsi je trouverait peut-être la force de retourner sur les continents inférieurs, là où la guerre fait encore rage je suppose. Le robot sans visage était trops minuscule pour attraper le coprs frêle de son ami, alors je décidai de décrocher moi-même l'exilé, cependant lorsque je fus sur le point de toucher la toile une forte pression s'enroula autour de ma jambe et me fis tomber à genou brusquement. Je sentais un froid m'envahir commençant par mes chevilles puis se mit à parcourir les parties de mon corps pour arriver finalement à mes oreilles. C'est alors que je fut surpris d'entendre un ''NON'' qui semblait résonner constament dans ma tête tout comme un écho dans un tunnel sans fin. Quand je rouvris les yeux, il était à me regardre de ses deux yeux faite par une simple perçée dans un metal rouillé, il était là et m'observa sans bouger un boulon.
-Pourquoi?
Il ne fis rien et restait là sans bouger, peut-être tentait il de trouver un moyen de me communiquer sans devoir me toucher puisque je suis certaine qu'il est celui qui m'a fait cela. Après quelques minutes, alors qu'il aurait été un perchoir parfait pour les oiseaux, il se mit à deux pattes à terre et semblait insister pour que je fasse de même. Je ne pus cacher mon étonnement face à sa demande et il semblait aussi l'avoir remarqué, alors il se positionna de la même manière tout près de la branche d'où est ce que se trouvait son compagnon et semblait vraiment insister pour que je l'imite. Sans me poser la question, je me mis à l'endroit où il m'avait indiqué puis je leva ma jambe gauche et mon bras droit dans les airs comme je pensais qu'il voulait que je fasse.
-Est ce que tu es content maintenant? Bon maintenant on fait quoi?
Il se figea encore une fois et cette fois il semblait réellement figé pour de bon, mais dès l'instant ou je me sentis épuisé et que je remis mes membres à terre, le robot devant moi tomba littéralement sur le dos sans avoir fait le moindre mouvement. Je voulais lui venir en aide, mais il repoussa ma main et se remi debout après un moment d'effort, puis me signala de refaire la même pose en pointant des derniers doigts qui lui restait l'endroit où je me trouvait. Je fus exaspéré de voir qu'il n'aimait pas les efforts que je développait pour lui et son ami et je n'était pas sûre de vouloir retourner là-bas et me faire passer pour une ridicule, mais il semblait vraiment y tenir et se mit à sauter sur place, ce qui a eu pour effet d'augmenter le cliquetie que l'on entendait à l'intérieur de son coprs métallique, un son particulièrement agaçant. Je fis ce qu'il voulu de moi pour le faire arrêter de créer autant de vacarme et sans même que je dise un mot, vint baisser ma jambe gauche ainsi que mon bras droit un geste brusque me mettant ainsi à quatre pattes à terre. Quel sôte j'ai été de ne pas comprendre tout de suite ce qu'il essaya de me faire comprendre depuis le début. Il ne possèda déjà pas de jambe gauche ni de bras droit lorsqu'il me montra comment me mettre au sol et moi comme une idiote je décida de faire comme si moi non plus je n'en avais point. C'est certainement pour cela qu'il lui a fallu autant de temps avant de réagir à ma pose. Sans même prévenir, il s'agrippa tranquillement à mon dos avec ses crochets qui lui servaient d'appuie et attrapa le torse de son compagnon qui était dans un sale état. Après ce qui c'est passé losqu'il me toucha avec ce même bras, je supposa qu'il était entrain de communiquer avec celui ci savoir comment le sortir de là sans l'endommager davantage, puis on entendit un bruit sourd à travers la prairie. Ce provenait justement au dessus de moi, mais lorsque j'essaya de tourner mon regard dans la direction d'où provenait le son, le robot sur mon dos resserait son étreinte sur ma colonne avec ses serres comme pour me dire de regarder ailleurs. Le bruit n'arrêta pas de prendre l'ampleur jusqu'à temps qu'un son encore plus particulier ce fit entendre, celui d'un métal entrain de se briser, puis ce fut à nouveau le silence. Le petit être sur mon dos descendit sur le sol et sans se retourner partit vers le grand chêne qui se trouvait à quelque pas d'où est ce que nous nous trouvâme et s'assit contre le bois en fixant l'horizon. Il tenait quelque chose près de lui, quelque chose qu'il n'avait pas avant. Ce n'est qu'en me retournant que je compris ce qu'il venait de faire. Ce curieux personnage que je trouva si gentil et doux pour vouloir tant sauver son compagnon, venait en fait de se venger de lui en lui arrachant la tête du reste de son coprs rouillé. Encore une fois je ne pus épargner personne de mes pleurs, car je venait de commettre un crime pour les désirs avides de quelqun d'autre. j'allais certainemnt être jugé pour m'avoir approché de l'exilé et j'allais certainement subir le même sort que lui, sauf que moi on ne viendra pas m'arracher la tête mettre un terme à mes souffrances.
Je resta ainsi longtemps en me demandant pourquoi ais-je voulu faire changer les choses et c'est à partir de ce moment que le meurtrié me regarda pleurer de ses deux troues vide, il ne viendra pas me consoler ni même me faire mal, il allait rester là à m'observer encore et encore. Ma voix était brisé par les sanglots et la douleurs que je ressentais au fond de mon coeur. Il fallait que je comprenne son geste même si il ne voudra point me répondre.
-Pourquoi l'as tu tué alors qu'il ne demandait qu'à être sauvé! Moi qui pensait que tu étais quelqun de bien! Je ne veux jamais plus subir de telle chose...je te déteste, tu comprends tas de féraille...Je te déteste!!!
Il ne semblait aucunement se sentir coupable pour ce qu'il avait fait et pour cela je le haîrai jusqu'au moment où il disparaîtra à son tour. Sa tête s courba par en avant pour fixer l'objet inanimé qui se trouvait dans sa main et après avoir contemplé la tête de la victime pendant un moment qui me sembla durer longtemps, il se remit à me regarder et allonga son seul bras de tout son long pour me présenter la tête de l'être que je tenta de sauver au départ. Quel cette supercherie! Essaya t-il de me faire porter le drâme pour la mort de cette âme ou est ce qu'il voulait simplement s'en débarrasser. L'un ou l'autre cela m'était totalement égal, car dorénavant je ne le considéra plus comme un être humain, mais une bête mesquine qui prenait un malin plaisir à se servir de l'intêret des autres pour arriver à ses fins. Je le haîrai, je le haîrai...je le haîrai pour ce qu'il est...un monstre!
*Le narrateur devient dorénavant le petit homme de féraille*
Il n'y a pas si longtemps de cela nous fûmes parmis les plus grands, nos noms se firent connaître par de nombreux guerriers qui possèdaientt déjà un titre à eux, personne n'avait tenté de nous défier depuis...nous étions désormais une menace pour les 5 grandes nations. À travers les yeux de mon ennemi, j'ai vu la guerre et je m'y suis impliqué en lui donnant le pouvoir qui jadis fut mien, un mal capable de tuer la pluparts des hommes sans même gaspiller son souffle à tenter de leur voler la leurs. Cependant, le ninja qui me porta tout ce temps alors qu'on m'enferma dans son enveloppe charnel, ne possèdait pas les même goûts meutriés qui m'anima jadis. Alors une guerre sans nom se fit entre nous deux, non pas une guerre au point de vue physique, mais bien sur le mental que nous fûmes contraint de combattre. Nos conflits se résumait à de simples hypothèses que l'on se servait pour obtenir des résultats que nous espérâmes juste et bien calculés, tout comme sur un échiquier. Depuis le début, la partie se jouait en ma faveur et plus la guerre dans le vrai monde battait son plein et plus j'avança mes pions pour cerner le roi, cependant il se servit habilement du peu pièces qu'il lui restait et l'emporta sur moi dans un ultime effort qui ne fut pas vain. Je devais mon échec qu'à une seul pièce...celle qui avait su représenter si bien mon meilleur ami de mon vivant. Nos âmes furent séparés et tandis que le vainqueur monta vers les cieux infinis, le perdant tomba dans les abysses les plus sombres, tel que même les sentiments les plus noir de l'humanité ne pouvaient égaler. Mon destin fut de terminer mon existence dans les flammes éternels parmis ceux qui ont commis de grave actions alors qu'ils arrivèrent encore à voir la lumière du jours. Je ne fus pas traité comme les autres, non, j'avais un sort bien plus sinistre, qui fut réservé à ceux de mon clan depuis le tout premier. Mon destin pour ne pas avoir remplit ma part du marché avec mon maître, fut d'être conduit à sa lôge pour être jugé pour une telle impertinance. Je souffris d'une longue agonie sans borne pour le plaisir de mon maître et ce n'ait qu'après plusieurs longue années qu'il finit par se lasser de mes suplications et jugea bon de mettre un terme à mon âme. Je fus enfin prêt à ne plus souffrir et à disparaître de tout les plans pour ne plus jamais souffrir davantage. Soudain, un coups de lâme siffla à mes oreilles alors que je pensais que mon bourreau venait de me persécuter, mais je renssentis toujours mon esprit relié à ce monde, donc ce n'était pas lui qui avait tiré le fer de son fourreau. Lorsque je releva mon visage qui démontrait mon étonnement, une lame argenté que l'on aurait dit constitué de milliers de petites étoiles se trouvait à quelques centimètre de mon nez et fit un mouvement d'arc devant son possésseur avant de rentrer dans son fourreau alors que mon faucheur tomba en même temps sur le sol, gravement affaiblie par coups. Il avait un bandeau noir au visage qui recouvrait jusqu'au dessus du nez et dont les extrêmités se rendaient un peu plus bas que ses fesses. Son corps était caché par une cape noir et dans son dos était brodé le symbol des nobles de mon clan, ceux qui n'ont jamais eu de sang sur les mains. Je fus certains de son identité lorsque je vis sous sa cape une armure d'une grande flexibilité avec une défense relativement moyenne l'envelopper d'une couleur saphir. Ses habiletés à maniers le katana tout aussi bien que ne l'aurait fait l'un les septs meilleurs épéistes, en plus de son armure qui reflêtait la lumière que produisait sa lame avait fait de ce ninja un homme qui avait su faire la guerre sans jamais perdre de sa beauté. L'être que je méprisait le plus au monde était descendu de son nuage pour venir me sortir des abysses, cependant il n'avait plus à faire à des ninjas, mais au maître des flammes éternels lui-même. Légendaire pour le nombre infinis d'âmes qu'il faucha de sa propre personne, mon maître sembla être touché par le geste de mon ennemi passé et lui proposa un marché en échange de ma liberté, un coups se doit de lui être affligé si moi et mon allié si méprisable veulent partir d'içi pour retourner vers la terre promise. Bien sûr, ce combat fut peine perdu lorsque le juunin tenta par tout les moyens de frapper mon seigneur, mais depuis le commencement il semblait déterminé à le frapper direct au visage et à chaque qu'il s'écroulait il se releva aussitôt pour continuer à tenter l'impossible. Ce fut qu'après un dernier geste de sa part avant la fin, qu'une lumière blanche envahit la salle où nous nous trouvâmes, c'est là, que je compris qu'il avait réussi.
Nous fûmes côte à côte lorsque je réouvris les yeux, mais je fus tout simplement incapable de bouger, quelque chose nous retenâmes au sol. À ce moment, une voix puissante se fit entendre dans notre esprit et je su par après que je fus condamné à perdre tout mes pouvoirs dans ma prochaine vie et que je ne pourrais jamais plus maitrîser un seul jutsu, cependant ma sentence était beaucoups moins à craindre que le sort qui avait été réservé à mon ancien adversaire. Pour avoir sauvé un homme dont les pêchés était jugés comme impardonnable, il allait subir le sort qui me fut assigné au départ et il allait voir tout ses souvenirs disparaître les uns les autres avant de s'éffacer à son tour. Nos corps furent détruit et on injecta nos fôrce spirituel dans des machines qui n'arrivait même plus à se tenir debout. Ils transportèrent l'homme le plus suicidaire qu'il m'est été donné de voir d'un extrêmité de la pièce et moi de l'autre, sans que je ne puisse les empêcher dans un corps aussi frêle. À ce moment, je fus téléporté dans un univers calme et qui semblait n'avoir jamais été frappé par la guerre par le passé. Le paysage était constitué de plein d'éléments différents qui en faisait une contré des plus magique. Je ne pouvais plus ressentir le chaud ou bien le froid avec un corps comme le mien, mais je me sentais à l'aise seulement avec mon regards posé sur un aussi beau tableau. Puis la voix qui me condamna précèdement se fit entendre à nouveau, avertissant certainement tout ceux qui se trouvait en cette endroit merveilleux, de ne pas secourir mon opposé qui était entrain de disparaître tranquillement de ce monde...de ces plans d'existences...
Dans un élan de rage, je me servis de ma seul jambe encore opérationnel pour me diriger vers le plus grand chêne du coin pour aller à la rencontre du personnage le plus stupide que je fus contraint de voir à travers mon vivant. Je l'hairai, je l'hairai jusqu'au moment où je devrais revenir dans le monde des mortels pour retrouver un nom et une famille, mais jusque là, je le détesta pour tout ce qu'il fit pour moi au détriment de son âme. Le fait d'avoir été sauvé par un parfait protagoniste me faisait vomir, cependant je lui devais une dette malgrès tout et c'est surtout sur ce point que je fut piqué au vif, je n'avais aucune raison de devoir aider quelqun, par contre, lui avait décidé pour moi que je serais certainement celui qui lui permettra de se reposer une dernière fois alors que cela n'aurait jamais été mon intention! Je le déteste...je te déteste, m'entends-tu sale protagonistes? Je te déteste!
Je me cramponna à la colline qui me séparait de mon objectif et je me balança de l'avant à l'arrière pour me donner des élans et me rendre jusqu'à lui. Si je n'avais pas eu de dette envers lui, je l'aurais regarder sombrer dans l'oublie.