Morichi Maku Suna no Shinobi
Nombre de messages : 311 Age : 33 Localisation : Quelque part à flaner Village : Suna Elements : Doton + Fuuton Nindô : Je veux protéger mon village et mes amis et alliés coute que coute. Je montrerais que je ne suis pas inutile... Date d'inscription : 24/06/2010
Infos du Ninja Rang: Genin Points d'expérience: (151/1000) Techniques:
| Sujet: Chroniques de Morichi Mer 8 Déc 2010 - 18:27 | |
| Sommaire :
- La maitrise du Fuusajin. (Entrainement)
- La maitrise du Fuusajin. (Combat)
[HRP]Les chapitres viendront au fur et à mesure du temps. Donc ne vous étonnez pas si il n'y en a que deux pour le moment [/HRP]
Dernière édition par Morichi Maku le Jeu 9 Déc 2010 - 0:58, édité 1 fois | |
|
Morichi Maku Suna no Shinobi
Nombre de messages : 311 Age : 33 Localisation : Quelque part à flaner Village : Suna Elements : Doton + Fuuton Nindô : Je veux protéger mon village et mes amis et alliés coute que coute. Je montrerais que je ne suis pas inutile... Date d'inscription : 24/06/2010
Infos du Ninja Rang: Genin Points d'expérience: (151/1000) Techniques:
| Sujet: Re: Chroniques de Morichi Jeu 9 Déc 2010 - 0:56 | |
| 1. La maitrise du Fuusajin. (Entrainement) Thème du chapitre « Le Doton est l’affinité la plus polyvalente, permettant la variété de stratégies de combats. Autant utile en attaque qu’en défense, la terre est très présente sur la terre, permettant ainsi son utilisation dans la plupart des terrains. La maitrise de tous les types de technique Doton permet généralement à son utilisateur d’avoir un avantage certain sur les combats. Cependant, un adversaire possédant le Raiton est très dangereux pour l’utilisateur du Doton, car la terre reste un très bon conducteur de l’électricité. Le Fuuton permet de palier cette faiblesse en la repoussant. L’hérédité du clan Morichi, l’affinité du vent, nous a permis de compenser cette faiblesse. »Bien beau, tout ça, mais ça ne m’a pas empêché de prendre une raclée face à ce Kyosho…Refermant le livre, je soupirai. Les deux premiers ninjas qui ont maitrisés le Doton dans le clan n’avaient pas laissé grand-chose sur la maitrise de cette affinité. Il parlait généralement de comment réussir à créer des techniques permettant d’allier le vent et la terre. Ce n’était pas ce que je recherchais. Ce que je voulais, c’était trouver des techniques originales afin de m’améliorer. Et j’avais l’impression, de par le contenu du livre, que mes deux prédécesseurs n’étaient fort que grâce à leur combinaison de leurs deux éléments. Restant allongé sur le dos afin de regarder le ciel bleu, parsemé par quelques nuages blanc qui suivaient leur chemin au gré du vent, je commençai à rêvasser. Le temps était magnifique et le vent était parfait. L’un des avantages d’être à Suna est qu’il n’y avait que peu d’humidité. Ainsi, le vent n’était pas froid, mais à une température agréable. J’aimais être ici. C’est pour ça que je protègerais ce village de mon mieux. Mais pourtant… Mais pourtant, il y avait cette histoire que Ame avait annexé Suna que je n’aimais pas. Pour cette raison, la plupart du clan qui s’était installé à Suna avec ma lignée familiale directe avait préférait de ne pas être mêler à cela. A part mon père, ma mère et mon grand-père, seuls quelques artisans ayant un travail suffisant, en plus d’une autre famille de cousins étaient restés. On était donc plus qu’à peine la moitié du clan en entier. Mais je n’aimais pas cette histoire pour une tout autre raison. J’avais entendu dire que l’Akatsuki se cachait derrière Ame. Et qu’une organisation telle que celle-ci, celle qui avait enlevé le Godaime Kazekage, Sabaku no Gaara, contrôle notre village, n’était pas du tout une bonne nouvelle. C’est pour cela qu’il fallait que Suna se rebelle… Je perdis le fil de mes pensées en entendant quelqu’un m’appelé. Je me mis en position assise alors instantanément et regarda vers le bas. Mon père, Heiji Morichi, était de nouveau venu me chercher. Je savais que ce que cela signifiait : un nouvel entrainement avec mon paternel. Je me levai et descendit avec un salto. Il m’emmena ensuite au terrain d’entrainement habituel. Je lui demandai alors le sujet de l’entrainement d’aujourd’hui. Nous sommes toujours là pour améliorer ton Taïjutsu. Cependant, il faut que tu sache quelque chose.Je me demandais ce que c’était. Mon père m’avait seulement appris à utiliser ce style de combat et à le maitriser, jamais il m’avait dit que je devais connaitre quelque chose dessus. Je pris alors un air intéressé et demanda ce que je devais savoir. Le Taïjutsu pur est une chose. Mais il y a d’autre façon de l’améliorer autre que de chercher à faire des enchainements. répondit-il. Je… ne comprends pas le concept…J’étais autant surpris que légèrement déstabilisé. Avec ces entrainements, je pensais qu’on ne pouvait qu’utiliser le Taïjutsu en ne faisant seulement des enchainements… Mais il y avait un moyen de l’améliorer sans ce dernier point ? Je me demandais lequel c’était. Tu utilise le ninjutsu parfaitement. Ou du moins tu sais maitriser les techniques défensives avec un très bon niveau. Ce que je veux t’expliquer, c’est qu’il y a une façon d’améliorer le Taïjutsu avec une technique de ninjutsu. Il existe des techniques de ce type ? Tout à fait. Personnellement, j’utilise Fuuryoku afin d’augmenter la vitesse et la rapidité de mes coups. Et tu voudrais que j’apprenne cette technique ? coupais-je, quelque peu impatient. Pas vraiment. Il faut que tu créé ton propre style de Taïjutsu. Ta force vient de ton agilité, et non de ta puissance, ainsi ce genre de technique serait moins utile avec toi.Je me calmai et réfléchissais à ce que mon père venait de me dire. Il fallait que je trouve un moyen de combiner le Taïjutsu et le Ninjutsu originalement, c’est en tout cas ce que j’avais compris. Je réfléchis alors à mes techniques et cherchai celles qui pouvait se combiner avec du Taïjutsu. La première idée venue était mes clones de terre, mais c’était trop évident. Ensuite il y avait mon Boufuu no Jutsu. Mais je n’étais pas encore capable de le maitriser correctement pour faire une avancée rapide sans perdre le contrôle de la technique. D’ailleurs, elle ne me permettait que d’augmenter ma vitesse, et que légèrement, encore. Je mis mes bras derrière ma tête et leva les yeux vers le ciel. Mais je ne trouvai pas. Mon père m'affirma alors que j'en possédais une, et me demanda de réfléchir en cherchant dans la technique un lien avec le Taïjutsu. En y réfléchissant bien, je ne trouvai comme réponse que deux techniques, mes deux seuls jutsus Fuuton. Et le Boufuu ne me permettait que de ralentir mon adversaire, pour le moment. Il n’y avait donc plus qu’une solution. Le Fuusajin ? Le Fuusajin, c’est exact. confirma Heiji Morichi. Et quel est sa fonction ? Bah, contrer l’adversaire… répondis-je machinalement. Je ne vois pas comment je peux l’utiliser pour l’allier à du Taïjutsu, vu que c’est un dôme de protection. Il m’empêchera de faire le moindre coup. Je vois que tu n’as pas encore saisi le truc. Si un adversaire s’attaque à toi et fais face à ton dôme, il sera repoussé. Il se passera la même chose si tu attaques avec ! Evidemment… mais… le temps que je fasse les signes pour la technique, j’ai toute les chances du monde à me faire attaquer. Et si je me protège le temps de l’activer, il aura tout le temps de préparer un ninjutsu pour me toucher après. Alors surprend-le.Le surprendre ? Le seul moyen de le surprendre est de faire diversion… ou alors… J’écarquillai les yeux et fit un grand O avec ma bouche. J’avais compris où mon père voulait en venir. Voyant que j’avais trouvé, mon père sourit et me proposa de commencer à m’entrainer sur cette façon d’utiliser ma technique de la Tempête de Poussière. J’enchainai alors quelques signes de main afin d’utiliser le Dochuu Eigyo et je me mouvais sous terre. L’avantage de cette technique était que c’était comme si je nageais, je n’avais donc pas forcément besoin de mes mains pour remonter à la surface. Je fis de nouveaux quelques signes, sortis du sol, et activai ma technique. Mais qui ne fit que remuer l’air. Mon père avait esquiver facilement. C’est trop lent, Maku. Il faut que la technique s’active dès que tu sors de la terre. Je veux bien, mais il faut que je fasse mon dernier signe dès ma sortie de terre, du coup, évidemment, ça prend un peu trop de temps… Ah ? Je pensais que tu savais ça… Savais quoi ?Mon père m’expliqua qu’il était possible de garder la technique actif en gardant le dernier signe de main incantatoire de la technique. Dans le cas de mon Fuusajin, elle garderait ma technique sous contrôle, mais vu que le vent ne peut aller sous terre, la technique ne se mettra à fonctionner dès que je sortirai du sol. En acquiescent pour indiquer que j'avais compris, je retentai l'attaque alors. Sur la première fois, je pensais qu’il était inutile de garder le dernier signe dès ma sortie de terre, ce qui fit annuler ma technique. Puis je ratai mon deuxième coup. Ce fut sur la troisième que le résultat arriva. En effet, sortant de la terre en prononçant le nom de ma technique, le dôme de vent se forma et frappa mon père, qui fut repoussé assez loin par cette technique. Se relevant, il me félicita d’avoir réussi mon attaque, mais me donna le conseil de tenter quand même un uppercut en apparaissant depuis le sol. Cela pouvait permettre un coup double plus efficace que d'utiliser le dôme lui-même. Puis il me laissa. Content de moi, mais quelque peu vidé en chakra par cet entrainement, je reparti flâner sur les remparts. | |
|