Nom:Gekkô
Prenom:Hayate
Age:17
code d admission:Validé par Madara
Description Physique :normale
Description Mental :normale
technique:suiton,Mizu Bunshin no Jutsu,Suiton Suirou no Jutsu,Suikodan No Jutsu,Daibakufu no jutsu,Suiryuudan,
Histoire :Hayate était partit du village cacher des feuille il se précipitas vers les porte pour s’en aller définitivement du village. Il était difficile d’imaginer qu’on pouvait vivre toute une vie dans un village et le quitter sans plus de cérémonie, mais après tout la mort n’était pas la même chose ? Des pensées toujours plus sombres les unes que les autres traversaient l’esprit du jeune homme, il hésitait encore, marchant sur le chemin qui menait au village du son, mais pourtant, son cœur n’y était pas encore… C’était comme s’il était partagé entre deux cotés, d’un coté, il mourrait d’envie de découvrir d’autres choses, trouver de nouveaux horizons et vu la démonstration qu’avait fait l’inconnu croisé dans les bois, Oto semblait le lieu idéal. Malgré tout, Konoha, le beau village de la feuille, c’était là qu’il avait tous ses repères, ses amis mêmes, enfin, tout ce qui faisait qu’il était Hayate. Mais après tout, lorsqu’on voyait ce que donnait le fait d’être Hayate, il n’y avait pas spécialement de quoi regretter, être un ninja parmi tant d’autre sans plus d’intérêt dans la vie que de savoir s’il allait pleuvoir demain, le choix n’était pas difficile à faire en soi… Et pourtant ! Le jeune homme chassa d’un geste de la main toutes ses pensées agacées qui ne cessaient de lui triturer l’esprit depuis son départ, et il se concentra sur la route qui s’étalait à ses pieds devant lui. La route allait être longue, il connaissait bien sa géographie et il savait pertinemment qu’un voyage d’un jour serait épuisant, mais il ne pouvait pas s’offrir le luxe de s’arrêter pour se reposer alors que son absence allait certainement être remarquée tôt le matin, sans compter qu’il avait laissé son bandeau là-bas pour ne pas déshonorer non plus son village. Hayate continua sa route durant le reste de la journée, elle passa rapidement, succédant simplement les décors et les villages sans qu’il ne prenne la peine de trop s’arrêter, ou en cas d’extrême nécessité, et ce fut ainsi qu’en fin de journée alors que la nuit risquait de bientôt tomber, qu’il aperçut enfin les portes du village du son. Maintenant il ne fallait plus hésiter, il devait être sûr de ce qu’il allait dire aux gardes sans quoi il risquait de ne pas seulement se faire refuser, mais aussi d’être renvoyé de telle manière que personne ne saurait jamais qu’il se trouvait devant ce village un jour. La marche jusqu’aux portes fut plus longue qu’il ne l’avait d’abord escompté, et rapidement il se mit à regretter de ne pas avoir prit plus de précautions pour arriver ici. Mais c’était passé, et il arrivait devant les personnes sensées garder les portes avant de s’arrêter à une dizaine de mètres d’eux. Le silence plana durant plusieurs minutes avant qu’il ne prenne enfin la parole d’une voix assurée, bien qu’il n’était pas aussi sûr intérieurement.
«Je m’appelle Hayate Gekkô, je suis venu jusqu’ici depuis un autre pays dans le but d’entrer dans le village. Mes raisons sont bien assez simples, il se trouve que j’étais ninja dans un autre village, mais qu’il était beaucoup trop faible à mon goût. J’ai eus l’occasion de voir à l’œuvre des ninjas de Oto, et je dois dire que la puissance qu’il dégageait durant ce combat, m’a impressionné, et c’est donc pour cela que je désire entrer dans ce village, et non un autre. »
Hayate se tut, regardant droit devant lui, il savait que le chef de ce village était un des ennemis mortels du village de la feuille et l’idée de préciser qu’il venait de là-bas ne le charmait pas trop, il privilégia donc l’amnésie à ce sujet. Il ne restait plus à présent qu’aux gardes de décider s’il était assez digne ou non d’entrer dans le village, mais quoi qu’il en soit, il ne voyait pas quoi ajouter de plus que ce qu’il venait déjà d’exprimer, il serait bien assez facile d’ajouter quelques mots et indications si jamais les gardes estimaient que ce n’était pas assez, mais il n’avait pas envie de se risquer à dire autre chose…