Hiroku Namikaze

Invité

Nom et prénom : Namikaze Hiroku
Âge : 19 ans
Village souhaité : Kumo

Avez vous lu les règles ? : Validé par konan

Techniques :
- Fuuton, Kamaitachi no jutsu
- Fuuton, Fuusajin
- Suiton Mizu Bunshin No jutsu
- KiriGakure No jutsu
- Hyôton, Tsubame Fubuki

Description Physique : (minimum 10 lignes)
Comment je suis physiquement ? Vous en avez de bonnes, vous... Qu'est-ce que je pourrais dire à part « Normal » ? Mais bon, je vais essayer.
Je mesure environ 1m85, donc je suis dans la moyenne, et je pèse dans les 60 kilos, ce qui est plutôt normal pour quelqu'un se dépensant comme moi. Des repas à la limite du spartiate, beaucoup d'entraînement aux jutsus, à la nage et aussi aux lancers (Kunais, shurikens, etc). C'est assez rare que je dorme plus de 8h par nuit, ce qui est déjà assez bien comparé à d'autres personnes. Au moins, je dors, ce qui n'est pas donné à tout le monde. J'ai les cheveux noirs avec des reflets gris, les yeux de la même couleur – plutôt étrange d'ailleurs - et une boucle d'oreille, à l'oreille droite, qui appartenait à ma mère.
Au niveau vestimentaire, disons que j'aime beaucoup les chemises blanches, bien qu'elles se tachent facilement. Je porte toutefois du noir pour les entraînements. Pour les pantalons, je les prends habituellement noirs, en fait je n'ai que ça. Des pantalons noirs, et des chemises blanches et noires. Pas très diversifié, je l'avoue, mais je préfère dépenser mon argent, le peu que j'ai, dans la nourriture. Et puis je reprise souvent mes vêtements déchirés, ce qui fait que certaines de mes chemises sont parfois noires et blanches.

Description psychologique : (minimum 10 lignes)
Psychologiquement ? Eh bien... Je pense être assez « normal » une nouvelle fois. Je n'aime pas spécialement me battre, ni tuer – quoique je n'ai encore jamais été dans cette situation – même si c'est un ennemi du village. Je ne déteste rien ni personne en particulier. Tout m'est indifférent, j'ignore pourquoi, et à vrai dire, ce qui est plutôt amusant, je m'en fiche également.
Tout ce que j'aime se résume à lire. Je lis beaucoup, c'est vrai. Cela peut aller du roman d'aventure de base à la réflexion philosophique sur la violence, en passant par des genres divers et variés. Quelques bandes dessinées par exemple. Quand je ne m'entraîne pas, je lis, et je lis tout ce qui me passe entre les mains. Récemment, j'ai lu un livre pornographique d'un auteur dont j'ai oublié le nom, d'ailleurs on sent une certaine expérience personnelle, mais passons.
A part ça, j'aime manger. Surtout des ramens au miso, comme beaucoup de gens certes, mais j'aime. Je mange de ça presque tout les jours, et j'en propose toujours à mon père, qui, en général, me répond pas un à peine audible « Je n'ai pas faim », et il quitte la table. Je dois m'occuper de lui, qui pourrait le faire à ma place ? De toute façon, la fin est proche pour lui, je pense... Il dépérit de jour en jour.

Histoire: [Minimum 20 lignes]

Un beau jour ensoleillé, les familles s'amusent avec leur enfants. Les mères jouent avec les fillettes, les pères entraînent leur fils. Enfin, ça c'est dans certaines familles. Dans d'autres, c'est l'inverse. Les filles sont entraînées par la mère ninja, et le fils apprend les rudiments du commerce par l'intermédiaire du père marchand. Bref, c'est la belle vie – en apparence en tout cas. On va dire que les malheurs du monde et du village sont vite oubliés par ces familles. Et l'égoïsme ambiant fait que tant qu'il y a sécurité dans la famille, le reste n'importe après tout que très peu. Le soleil brillait et, fait très rare, peu de nuages se profilaient à l'horizon. Une très belle journée.
Je suis né le lendemain. Alors là, complètement différent. Il pleuvait des cordes, le bruit de l'eau sur les fenêtres devait sûrement être insupportable, intensifiant encore le sentiment de mal-être que ma mère devait ressentir à ce moment là, lorsque je suis sorti de son « ventre ». La pauvre, non contente d'être obligée d'extraire un enfant de l'intérieur de son corps, on aurait presque dit que le temps se plaçait en opposant de cette action. Comme si la nature me rejetait immédiatement, alors même que je commençais à sortir. Mais arrêtons là ces allégations de dépressif. Donc, je suis né, et là, à ce qu'on m'a dit – je ne pouvais décemment pas comprendre ce qui se passait, ce fut la joie générale lorsque je m'extirpais du corps de ma mère. L'héritier des Namikaze était enfin arrivé. Neuf mois d'attente et de soins envers la mère, neuf mois de cajolerie et d'attention pour ne pas qu'elle se fatigue sans raison. Neuf mois, et tout ça pour que le marmot que j'étais naisse sans encombre. Ma mère, paix à son âme, ne supporta pas à l'accouchement malgré tout les soins apportés. « C'est la vie », comme dirait quelqu'un d'étranger à l'affaire. Sauf que pour moi, et pour toute ma famille, c'était bien pire.
Considéré comme fautif, et après tout je le suis peut-être, la vie chez moi fut toujours très tendue. Ma famille m'aimait, ça je ne peux en douter, mais il y avait toujours, et il y aurait toujours, dans leur esprit la pensée que j'étais né, et que ma mère était morte à cause de ça. Si on cherche plus loin, c'est aussi la faute de mon père, qui a mis sa femme enceinte. Mais personne ne le rendait fautif, et moi, j'héritais, en plus du nom des Namikaze, du fardeau de la mort de ma mère.
Je vois que je me suis beaucoup attardé sur ma naissance et ses conséquences, je ferai mieux de passer à la suite.
Mon père étant ninja, il était normal – quoique peut-être pas tant que ça – que je le devienne à mon tour. Ma mère, elle, était femme au foyer, à ce qu'on m'a dit, je n'ai jamais cherché à savoir si c'était vrai. Elle était morte après tout. Elle ne faisait plus grand chose à part... Dormir... Dans un coffre de bois. Bref, il commença à m'entraîner. Et ses entraînements se résumaient souvent à des humiliations pour que j'apprenne ce qu'était la vie : Une succession d'embûches. Jamais il ne mentionna la mort de ma mère dans ces « embûches », mais il devait y penser. Je le voyais dans ses yeux. Les kunais, les shurikens, les multiples tasses que j'ai pu boire pendant les entraînements aux jutsus aqueux. Tout les entraînements. Tout... Ça... Je m'en foutais. Mes journées se résumaient à me lever, prendre le petit déjeuner avec mes grand-parents qui m'ont toujours soutenu, aller à l'école, étudier sans vraiment le faire, rentrer chez moi et m'entraîner. Quand mon père était en mission, un de ses amis s'occupait de moi, ou alors c'était mon grand-père.
Le jour où je suis devenu Genin, toute la famille semblait heureuse. Mon père me félicita et me prit dans ses bras, et pour la première fois, je sentis qu'il était fier de moi. Mes grand-parents étaient morts peu avant que je réussisse mon examen, et je me retrouvai seul avec mon père, qui faisait de moins en moins de mission. Il tomba malade peu de temps après, et maintenant, c'est comme s'il était mort, mais son coeur bat encore. Il a de la fièvre tout les jours, c'est à peine s'il arrive à faire quelques pas tout seul et lorsque je rentre, la plupart du temps, je le retrouve devant la tombe de ma mère. En y réfléchissant, j'ai fini par établir une certaine théorie. La mort de ma mère l'a complètement détruit, mais par égard pour moi, il a attendu que je sois devenu officiellement un ninja pour se laisser aller à sa douleur. Une douleur dont je suis responsable. Et ça ne me fait rien.

Welcome =)

Il manque une ligne aux mental vue que tu ne fais pas de ligne entière^^

Pour avoir le Hyôton, il faut deux techniques suiton et deux fuuton. il faudra donc en rajouté si tu désire le hyoton ^^

Invité

Merki <3 Okaydak, je fais ça tout de suite ^__^

EDIT : Voilà, Konan =3

Très belle histoire, simple mais originale.

Je valide

Actives ta feuille de ninja dans profil et mets tes techniques, ton rang genin et 50/1000 de points d'expérience !

Bon RP !

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