Miraki: Mission de rang D: [a valider]

Invité

Mission de Rang : D

Lieu : Les rue
Mission : Aider un paysan à porter des sacs de farines jusqu'à chez lui.

Il faisait beau aujourd’hui, ce qui était très rare ici, on était plus habitué à la brume et à la pluie. Je me rendais au bureau du Mizukage pour obtenir une nouvelle mission qui serait plus utile que la dernière mais bon après tout ce n’est pas qui décide. Je passais dans les rues, l’on pouvait voir les multiples échoppes de marchands, il y en avait qui vendait des armes, d’autre du poisson. Je suis passait devant le marchand de parfums avec lequel j’ai eu à traité lors de ma dernière mission, on aurait dit que les affaires marchaient bien en ce moment. Enfin, j’arrivais devant le bureau du Mizukage et entre.

J’en sortis déconcerté, car il m’avait donné une mission encore plus ennuyante et déconcertante que la dernière:

DIX MINUTES AUPARAVANT :

J’entra dans le bureau et vit le Mizukage assis dans son fauteuil et lui demanda :

« Est-ce que vous avez une mission pour moi ? »

Il se tourna et dit d’une voix roque :

« Voyons, voyons, à voila, oui effectivement j’ai bien une mission pour toi : Aider un paysan à transporter des sac de farines jusqu’à chez lui ».

Voila ce qui s’était passé, mais bon ce n’est pas moi qui décide. Il fallait que je me rende aux quartiers Sud, c’était la qu’il devait attendre, ce n’est pas le tout mais si je veux avoir terminé avant la nuit il faut que j’y aille. Une fois arrivé aux quartiers Sud je ne vit personne, quand soudain un bruit sourd venait de l’entrepôt d’en face. Je m’approcha et constatent que la porte était entrouverte je me pencha pour regardé à l’intérieur et vit un homme par terre recouvert de farine, on aurait dit un zombie. Je couru vers l’homme dans l’espoir de pouvoir l’aider quand j’au un déclic : il était recouvert de farine, ma mission est d’aider un paysan à porter des sac de farine, donc cela devait être la personne que je devait aider, mais oui bien, mais trêve de bavardage il faut que je l’aide. Je me rapprocha de l’homme et lui tendit la main pour qu’il puisse se relevé. Mais à peine debout, il retomba sur le dos, il a du se faire mal en tombant tout à l’heure. Il fallait que je l’emmène à l’hôpital, mais il ne voulait sous prétexte qu’il devait apporter de la farine chez lui. Je lui dis en criant :

« On m’a donné une mission qui est de vous aidez à transporter des sacs de farines jusqu'à chez vous mais tout d’abord je vous emmène à l’hôpital et après je m’occupe des sac de farines ».

L’homme resta bouche bée pendant un petit moment puis fit un hochement de la tête pour dire ’’oui’’. Je pris l’homme et l’emmena à l’hôpital, ceci fait je retourna à l’entrepôt et vit qu’il y avait au moins cinquante sacs, je pris deux sacs et sortit de l’entrepôt, il fallait que je monte les marches d’un escalier qui n’était pas très sûr, les marche craqué à chaque passage, je traversa les rues et pris une ruelle sombre pour mener à une maison en bois simple avec une cheminé en brique et une porte qui avait déteint, je posa les sacs à terre et ouvrit la porte, la maison n’était éclairé que par quelque petite bougie les volets était fermé, une odeur de renfermé. Au fond se trouver la porte de la cave qui était décoré de différentes sortes de poissons, des trophées de chasse en quelque sorte. J’ouvris la porte et descendit les marches une par une en étant prudent et posa les sacs au fond de la cave comme me l’avait dit l’homme.

J’ai fait au moins dix allé retours entre l’entrepôt et cette maison avant que le soleil commença à se couché. Il fallait que je me dépêche de finir avant que la nuit ne tombe complètement, je me dépêchai de retourner à l’entrepôt mais une averse montra le bout de son nez, heureusement elle n’a pas été longue comme la plupart des averses ici. Arrivé à l’entrepôt j’attrapa deux sac de farine et ressortit, et soudain quand l’homme que j’avais emmener à l’hôpital me regarda en voulant rire et dit :

« Tu tes cassé la tête pour rien pourquoi n'a pas utilisé le chariot qui est dans l’entrepôt ? »

Un chariot, un chariot, cela faisait prés de une heures et demi que je faisait des allés retour avec deux sacs à chaque fois alors que j’aurais pu en prendre beaucoup plus avec le chariot. Mais bon, on ne peut pas revenir en arrière et en plus cela m’aura fait faire de l’exercice, je regarda l’homme et lui dit :

« Bon, ce n’est pas grave, je rapporte les six derniers sacs avec le chariot et je vous laisse ».

Ceci dit, je rentrais dans l’entrepôt et attrapa le chariot, me dirigea vers les sacs les pris un par un et les mis dans le chariots, j’avais réussi à mettre tous les sacs dedans. Je sortis de l’entrepôt en courant traversa les rues à grande vitesse et pris la ruelle, entra dans la maison et descendit les sacs un par un dans la cave.

L’homme arriva et me dit :

« Je te remercie pour ton aide et surtout pour ma jambe, tien pour te récompensé je te donne ceci ».

L’homme tenait entre ses mains des baguettes de pain qu’il me donna. Je sortis de la maison et alla rendre compte de ma mission au Mizukage. J’étais pratiquement arrivé, lorsque je me dit qu’il étais tard alors je suis allé chez moi me coucher, le compte rendu pouvait bien attendre demain.

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