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 [Combat] Le Japon... enfin....

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Ayuta Ikibura
Iwa no Shinobi
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Ayuta Ikibura


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MessageSujet: [Combat] Le Japon... enfin....   [Combat] Le Japon... enfin.... Icon_minitimeSam 28 Aoû 2010 - 17:53

Rame... rame... rame...

Dans la nuit la plus noire et pourtant la plus étoilée qu'il ait jamais vue, il ramait, en soufflant, en s'épuisant. Jamais il n'aurait cru que le voyage pouvait être aussi long et éprouvant, lui, dans sa petite jonque de bois construite de ses propres mains. Traverser la mer jusqu'à la terre, c'était là bien facile à dire, mais à ses dépends, le rameur apprit que ce n'était pas aussi facile à faire. Il arrivait à peine à discerner le reflets des vagues luisantes sur le lit d'eau noire au repos, chose à laquelle l'infortuné voyageur ne cessait d'aspirer. Mais il se retenait, son embarcation était instable et de fort mauvaise facture et le moindre lâcher de rame ne pourrait que la conduire à la dérive.
Et le navigateur continua comme cela encore longtemps, très longtemps, vraiment très longtemps... Cela faisait déjà quatre jours qu'il avait quitté son pays natal pour aller vers l'archipel voisin, quatre jours et quatre nuits qu'il arpentait les mers, le regard perdu au loin, écarquillant les yeux pour voir ne serait-ce qu'un infime bout de terre. Tenaillé par la faim, il dut se résoudre à engloutir sa dernière ration, une boulette de riz presque moisie.
Et, ô malheur, le vent revint lui congeler les entrailles. Il se demandait à chaque fois si le vent marin était le plus froid de tous... peut-être l'était-ce, peut-être ne l'était-ce pas, mais en tout cas, ce fut au rhume de venir perturber le rameur chevronné. Un éternuement, puis un autre, puis un autre... Il se moucha sur sa manche sale et renifla de plus belle. Sa peau était devenue sale et collante à cause du vent ambiant, l'absence d'hygiène et le sel de la mer, seule liqueur qu'il pouvait se permettre, buvant l'eau au goût exécrable pour tromper sa soif, mais en réalité, il mangeait plus de sel qu'il ne buvait d'eau.

Et enfin, un soupçon de chaleur revint raffermir les muscles torturés du marin, les premier rayons de soleils parvinrent à éventrer les sobres nuages de ce ciel grisâtre. En reprenant son courage à deux mains, en le mordant à pleines dents, le navigateur désespéré ne cessa de ramer en direction d'une nouvelle terre. Et enfin, par la bénédiction la plus divine, il put entrevoir un infime fragment rocheux. Sans en douter une seconde, il rama encore plus fort et avec autant d'ardeur que le permettait son corps affaibli. Non, cela ne faisait aucun doute, ce qui s'offrait à ses yeux, c'était bien...

- Le Japon !

Ce fut là le premier mot qui avait filtré de se bouche depuis son départ, des paroles au lieu des gémissements et des soupirs. Ses muscles étaient bourrés de crampes, ses os semblaient craquer chaque seconde, et sa fatigue... sa fatigue...

Ce fut trop pour lui, alors qu'il était en vue de son objectif, le misérable s'évanouit de fatigue, sa joue restait collée aux rondins de bois qui formaient son radeau.


Quand il se réveilla, il n'était plus sur la mer, mais sur un lit, certes, un lit inconfortable, mais un lit. Juste à côté de sa tête siégeait, sur une petite table de chevet, un bol d'eau fraîche. De l'eau ! Pour la première fois depuis des jours, l'infortuné put boire de l'eau autre que l'eau salée de la mer, de l'eau pure ! Le bol fut dégusté en un instant et il se sentit rassasié, toujours épuisé, mais rassasié, au point qu'il parvint non sans mal à trouver la force de se lever et de se remettre sur pieds, alors qu'il était obligé de ramer à genoux. Sa vue était floue, mais cela lui permettait quand même de bien se représenter la pièce dans laquelle il avait dormi. Petite mais propre à l'extrême, une ouverture laissait passer l'air froid de l'extérieur mais le climat intérieur n'en restait pas moins chaleureux, le bois semblait rugueux mais tapissé par une fine fourrure, qui ne blessait pas ses pieds nus. Oui, ses pieds étaient nus, et son torse aussi, il n'y avait que son pantalon de soie qui le recouvrait. Ce fut enfin là qu'il se posa la question : qui avait pris soin de lui à ce point ? Il ne le savait pas, mais nul doute que cette personne méritait ses remerciements les plus sincères, seulement cela car il ne possédait rien de valeur. Mais il voulait connaître ses sauveurs et il ouvrit la porte de bambou pour sortir de la chambre. A peine eut-il ouvert la porte qu'un petit regard d'enfant le toisait déjà. En effet, un petit garçon, à peine plus âgé que sept ans, regardait l'homme imposant de son corps bien bâti et de sa force d'âge sans aucune peur ou animosité. Il se retourna juste pour parler à sa jeune mère qui n'avait encore rien vu de la scène.

- Maman ! Maman ! Il est réveillé !

La femme se retourna, surprise. Elle resta figée un instant lorsqu'elle vit l'homme affaibli enfin debout.

- Alors... ça y est, vous êtes réveillés ?

L'invité, qui s'appuyait contre le mur pour ne pas tomber, lui répondit après un instant de silence.

- Oui, je... Où suis-je ?

- Vous êtes tout près de plage, monsieur, vous allez bien ?

- Donc... je suis arrivé au Japon ?

La jeune femme resta muette un instant, l'infortuné n'avait donc aucune idée de l'endroit où il mettait les pieds.

- Oui. Nous sommes à Rikuchû.

- Le Japon.... enfin....

- Pardon ?

Il esquissa un sourire satisfait, enfin, il était arrivé sur la terre du Japon ! Mais son extase muette le gêna lorsqu'il vit la femme intriguée.

- Oh.. non, ce n'est rien...

Même si la personne devant elle ne paraissait guère menaçante malgré sa carrure et ses muscles apparents, la jeune maman éprouvait encore de la méfiance à son égard. Après tout, c'était un parfait inconnu.

- Alors... comment vous appelez-vous ?

- Shuken, répondit-il d'un ton neutre presque immédiatement après sa question.

- Shuken... enchantée.

Elle inclina légèrement sa tête, et par respect pour elle, l'homme, Shuken, fit de même. C'était là un timide signe de bienvenue. Son repas était presque prêt. Vu l'amabilité et la politesse de ce jeune homme, elle se vit tentée de l'inviter à partager son déjeuner. Shuken, affamé, accepta sans hésiter une seconde. Durant tout le repas, Shuken n'entretint pas un brin de conversation, trop occupé à déguster son festin, d'ailleurs délicieux, la femme était une cuisinière experte. Ce fut à la fin du repas qu'un véritable dialogue put avoir lieu. Après les propos habituels concernant la pluie et le beau temps, une question plus personnelle se fit entendre. La femme ,tout de même curieuse de savoir ce qui amène Shuken au Japon, lui demande :

- Dites-moi Shuken, comment expliquez-vous que l'on vous ait retrouvé à moitié mort entouré de rondins de bois ?

Des rondins de bois ? L'invité fut surpris un instant que son radeau ait pu si mal tourner, mais il répondit normalement à son hôte.

- En vérité, j'avais entrepris de voyager vers le Japon pour quitter mon pays natal.

Le petit garçon, encore plus curieux que la femme, le questionna sur son origine.

- Et tu viens d'où ?

- Shura.

- Shura ? dit la femme, Jamais entendu parler.

Cela ne surprit pas Shuken, il se doutait bien qu'il n'y avait aucun lien entre son île natale et le Japon, c'était d'ailleurs pour cela que son voyage fut si long.

- Et sinon, pourquoi êtes-vous venu jusqu'au Japon ? C'est vrai, après tout, ce n'est pas vraiment un pays de pêcheurs.

La femme se méprenait, Shuken était bien loin d'être un pêcheur. D'ailleurs, il chercha à la corriger tout de suite mais on toqua à la porte d'entrée. La jeune mère sursauta, non pas par la simple surprise de voir sa porte occupée à cette heure, mais bel et bien à une peur plus sombre. Dans la précipitation, elle demanda expressivement à son fils terrifié de se cacher puis elle pria Shuken de faire de même.

- Monsieur Shuken, revenez dans votre chambre !

- Qu'y a-t-il ?

-C'est un ordre !

Face à la volonté de la maîtresse de maison en sueur, Shuken n'eut d'autre choix que de se s'y plier et rejoignit sa chambre. Observant la femme de par la maigre ouverture de la porte, il vit la mère se préparer mentalement en soufflant puis ouvrir, tremblante, la porte d'entrée. Ce qui attendait derrière était un petit groupe d'environ cinq personnes dont deux qui entrèrent dans la demeure. La jeune femme, paniquée, balbutia aux hommes :

-Je... Je suis désolée ! Je n'ai pas trouvé la somme aujourd'hui !

Dans un grognement détestable, le plus laid d'entre eux la prit avec force par le col pour la menacer.

- Keuwaaa ??? On t'avais dit qu'on voulait trois Kan de riz et toi tu les as pas ? Ça fait combien de temps déjà ? Trois jours qu'on attend que tu en récoltes, connasse ! Tu sers à rien !

Il la secouait, la martyrisait alors qu'elle, soumise, n'en finissait pas de s'excuser. Sourd à ces prières, l'oppresseur la jeta avec brutalité hors de sa maison et dégaina son sabre.

- Tu vas le payer de ta vie !

Il se vit expulsé de la maison par une force inconnue alors qu'il avait à peine franchi le pas de la porte. Il se réceptionna violemment quelques mètres plus loin, face contre terre. Quand il se releva, le vaurien hurla.

- Qui a fait ça ?!!! Sors, que j'te bute !

A ce moment, tout le monde avait les yeux fixés sur la porte d'entrée, attendant la venue du suicidaire qui se serait risqué à les provoquer. Le bandit laid, qui était en face de l'entrée, vit une ombre s'approcher. Son sang ne fit qu'un tour, de rage, il jeta son sabre en direction de l'entrée. Son épée sembla s'évanouir dans l'intérieur de la pièce car aucun cri, aucun son n'en émergea, jusqu'à ce qu'un éclat filant percute le tête du malfrat qui vit sa propre lame enfoncée dans le crâne, entre les deux yeux, dans une effusion de sang. Ses complices eurent tôt fait de s'exclamer :

- Quoi ??? Qui a fait ça ? Montre-toi !

Leur demande si humble fut finalement exaucée et une silhouette sortit calmement par la porte d'entrée, une silhouette que la femme eut tôt fait de reconnaître.

- Sh... Shuken !


Musique d'ambiance


La femme fut choquée et les voleurs étaient révoltés. Il n'attendirent pas d'explication de la part du meurtrier de l'un de leurs confrères et tous, excepté le chef de la bande qui se distinguait par sa carrure plus qu'imposante, attaquèrent à trois contre un le combattant solitaire. Le premier arrivé, armé d'une lance tenta de le transpercer mais en vain, Shuken esquiva avec une facilité impressionnante et punit son agresseur d'une frappe exécutée avec une force ridicule sur son dos. Les deux autres arrivèrent armés de sabres courts, ils tentèrent de le tuer en le frappant à la tête grâce à un coup vertical qu'ils exécutèrent en même temps. Mais Shuken les évita en leur assénant un coup de pied rotatif qui frappa leurs têtes en même temps. Après cela, il partit vers le chef de bande comme si de rien n'était, laissant les autres comme de vulgaires déchets. Humiliés par cette conduite, il se retournèrent et tentèrent tous de le frapper mais une impression étrange les coupa dans leur élan. Soudain, la tête du lancier commença à gonfler et à se déformer de la manière la plus étrange qui soit, et son compagnon a vite fait de le remarquer :

-Hé ! T-ta tête !

-Quoi ma tête ? J'ai ma...j'ai ma-ma-mamama....

Et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, le visage du lancier se déchira puis explosa dans une marée de sang. Choqués comme personne, les deux autres n'eurent pas le temps de hurler qu'ils subirent le même sort, et une flaque, une longue étendue de liquide pourpre orna la terre à cet endroit là. Shuken se tourna ensuite vers le chef de bande, un énorme barbu qui en imposait autant pas son armure intimidante que par sa musculature imposante.

-Toi, c'est à ton tour, lui lança froidement Shuken.

Impressionné, mais pas effrayé, le colosse ne se laissa pas intimider et se tint près au combat.

- Abruti ! Tu crois que tes techniques de cirque marcheront sur moi ? Je suis le pratiquant de l'art martial le plus redouté au monde, le Taizan Hadatsu Gô !!! ( "Le pillage d'acier du mont Taï" ) Je vais t'arracher la tête !!!

Son art martial puissant et redouté s'apprêtait à abattre sa puissance destructrice sur un seul homme. Le bras géant de son adversaire fendit l'air avec une bourrasque de tempête, ce coup pouvait être fatal à Shuken. Mais celui-ci n'esquissait pas un seul geste jusqu'à ce que le poing en vienne à frôler son visage. A ce moment là, il décala sa tête dans le mouvement le plus simple imaginable et d'un geste fulgurant, il toucha le front du chef avec son index. Derrière lui, la terre se craquela sous la puissance déplacée par le coup raté de son ennemi.

-HM ! Ridicule ! Tu penses m'abattre avec un seul doigt ?

Shuken ne porta aucun intérêt aux remarques de l'imposant combattant et retira son doigt pour l'insulter avec de froides paroles.

-Face au Hokuto Shinken ( "Le poing divin de la Grande Ourse" ), un insecte comme toi n'a aucune chance. Un doigt seul est amplement suffisant pour te vaincre.

Sur ces mots, il se retourna et s'éloigna calmement sans courir ou esquiver, mais en marchant sans même regarder derrière lui.

-Hé !! Tu fais quoi là ? Tu crois m'avoir battu, enfoiré ???

Sans lui accorder le moindre regard, Shuken laissa filtrer ces dernières paroles entre ses lèvres.

- Tu ne le sais pas encore.... mais tu es déjà mort.

Puis il rejoignit la femme blessée et l'aida à se relever. Pendant ce temps, le barbu commença à gémir, puis à crier de douleur. Ses os commencèrent à se craqueler sous sa peau, ses organes se tordirent et son visage, lui, se déforma au point que tous ses poils, avec sa barbe, se hérissèrent au point de ressembler à des épines. Les yeux du tyran s'écartèrent l'un de l'autre, sa bouche commença à se séparer en deux et son corps entier fut contrôlé par une douleur extrême. Au final, des craquements sourds se firent ensemble et le corps entier de l'impitoyable bandit se consuma entièrement dans une explosion sanguine, au point qu'il n'y eut plus de cendres que de sang à même le sol.
Évanouie, la jeune mère, éprouvée, se fit déposer sur son lit par l'artiste martial qui, patiemment, veillait à son réveil.

Deux heures plus tard, la femme ouvrit enfin les yeux.

- Où... où suis-je ?

Quand elle put distinguer le visage de Shuken, elle hurla de toutes ses forces.

- AAAAHHH ! Démon ! Ne me tuez pas !!

Surpris, Shuken constata que sa "démonstration" avait ancrée dans l'esprit de son hôte une image de lui qui était violente, instable, meurtrière, l'image d'un démon. Seule une entité démoniaque pouvait éliminer avec tant d'aisance un groupe si terrifiant. Le gamin non plus n'avait pas bougé de son armoire, redoutant la colère de l'assassin qu'il était. Bien qu'il fut utilisé dans l'intérêt de cette famille, son Hokuto Shinken était un art martial d'assassin, de tueur, un art sans pitié qui réduisait en cendres le moindre opposant. Shuken comprit qu'il était temps de partir d'ici. il appuya doucement, malgré les hurlements terrifiés, sur le mâchoire supérieure de la femme, juste entre ses narines et ses lèvres. C'était là un point vital qui eut pour effet de l'endormir. Ensuite, il appuya sur ses deux tempes pour effacer sa mémoire proche. Il fit de même avec l'enfant caché dans le placard et il rassembla ses affaires et quelques rations dans le garde-manger de la famille, en tentant de prendre le moins possible. Et enfin, il referma la porte derrière lui et laissa la famille en paix, sa destinée n'était pas de s'éterniser dans un foyer. Il posa son pied chaussé sur la terre boueuse, admirant la plage et au loin, la mer de par laquelle il était venu. Mais il se retourna et pensa à marcher vers les plaines et les collines, vers une ville, de la civilisation, là où se rassemblent un grand nombre de personnes et de savoirs. Rehaussant la corde de son petit sac sur son épaule, Shuken se mit en marche, en marche vers sa destinée.

Nous sommes en l'an 208 après Jésus Christ, et c'est ainsi qu'a commencé la légende du Hokuto Shinken...



Spoiler:


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MessageSujet: Re: [Combat] Le Japon... enfin....   [Combat] Le Japon... enfin.... Icon_minitimeSam 28 Aoû 2010 - 18:15

Voilà, j'espère que ça vous a plu, si vous avez des commentaires à faire, je vous encourage à poster ci-après, merci d'avance de votre sincérité Smile
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